Pour le jour de Saint Valentin, Hastérion célèbrera, comme vous vous y attendez tous, la peste et les apiculteurs
.. Ou pas. Non, cette année nous avons choisi de faire un twist surprenant pour tous, afin de donner ne nouvelle image au 14 Février ! Ne soyez pas trop déçus, Saint Valentin a d'autres patronages qui pourraient vous intéresser. Par exemple, il est associé aux amoureux ! Occasion parfaite de faire du ship, si vous voulez mon avis
Comme vous l'aurez deviné, c'est sur cet aspect que se centrera l'évènement de ce mois de Février. Pour être précis, nous vous proposons un blind date
Placé sous la tutelle de Créfollet avec le concours de Cresselia, cet événement vend du rêve. Avec la bénédiction du Faiseur de Paix, ces deux Pokémon attribueront aux participants de l'event une personne au hasard avec laquelle sera par la suite organisé un rendez-vous galant. Vous ne saurez qui aura l'honneur de votre compagnie que le 14 Février, bien entendu !
L'event se déroulera en trois étapes.
• Vous aurez d'abord du 01 Février au 12 Février pour vous inscrire en postant à la suite de ce sujet.
• Passés deux jours de battement (pour s'assurer que Céleste pense à faire les attributions), votre charmant.e date vous sera révélé.e le 14 Février !
• Vous aurez alors jusqu'au 04 Mars (parce qu'on aime être large) pour poster dans le flood un texte racontant le déroulement de votre rendez-vous. Vous êtes libres d'en faire un court rp avec un.e autre joueur.euse ou simplement un One Shot à la suite de ce message, l'essentiel est d'écrire un petit texte amusant (ou pas) sur le date qu'aura vécu votre personnage.
Comme vous vous en doutez, cet event n'est pas (forcément) canon IRP. Vous pouvez le placer à l'époque du forum comme dans un contexte moderne, futuriste, heroic fantasy ou que sais-je encore ! Tous les coups sont permis du moment que ça vous inspire. Ce peut être un rendez-vous prévu comme fortuit, voire même forcé par les Pokémon légendaires cités plus haut qui sont, visiblement, des shippers fous
L'event en principe n'ayant pas d'existence IRP, vous n'avez pas besoin d'être validé.e pour participer ! Simplement de poster à la suite de ce message en remplissant le formulaire suivant:
Code:
[b]L'amour nous guidera[/b]
[b]Personnage(s) participant(s)[/b]: Vous pouvez inscrire plusieurs de vos comptes, aucun souci ! [b]Les auto-dates vous dérangent-ils ?[/b] oui/non; pour ceux qui inscrivent plusieurs comptes: si vous répondez oui, on s'arrangera pour toujours vous mettre avec un personnage n'étant pas le vôtre, histoire de ne pas vous obliger à faire un one shot si vous voulez de l'interaction [b]Les PNJ vous dérangent-ils ?[/b] oui/non; parce que oui messieurs dames, les PNJ du forum sont de la partie !
A chaque participant.e sera décerné un lot tout à fait extravagant: un noeud destin et trois chococoeurs (oui, c'est fou), alors n'ayez pas peur de l'amour et venez vous inscrire
Participants: Rex M. de Gardefier Hécate Virgile Marcial Salem Céleste Yōkai Andraste R. Dell'Anna Byakuren Kimura Marigold Whiterun Charlie
De plus, pour vous faire patienter avant l'arrivée de votre date, des mission particulièrement romantiques ont été ajoutées. Allez jeter un oeil au tableau des missions si vous vous sentez l'âme d'un Cupidon
Rex M. de Gardefier
Or : 360
Origine : Scémède
Métier : Chien de Garde
Equipe :
Mar 2 Fév - 18:01
Rex M. de Gardefier
L'amour nous guidera
Personnage(s) participant(s): Parce que j'aime les défis, je les pose tous là : Virgile Marcial, Hécate, Rex M. de Gardefier et Salem Les auto-dates vous dérangent-ils ? Dans l'absolu, non Les PNJ vous dérangent-ils ? Non plus
Hâte pour du bullshit ship !
Byakuren Kimura
Admin
Or : 370
Origine : Kii
Métier : Apprentie prêtresse
Equipe :
Jeu 4 Fév - 23:06
Byakuren Kimura
L'amour nous guidera
Personnage(s) participant(s): Puisque Vivi cherche la merde, moi aussi J'inscris Céleste, Byakuren Kimura , Yōkai & Andraste R. Dell'Anna Les auto-dates vous dérangent-ils ? en soi non Les PNJ vous dérangent-ils ? non plus
Marigold Whiterun
Or : 110
Origine : Scémède
Equipe :
Dim 14 Fév - 5:21
Marigold Whiterun
L'amour nous guidera
Personnage(s) participant(s): Marigold et si vous me trouvez un perso légal, Charlie ~ Les auto-dates vous dérangent-ils ? Pas trop fan, déso Les PNJ vous dérangent-ils ? Non
Je m'inscris au dernier moment mais Vivi elle a dit oui
Le Passeur
PNJ
Or : 2794
Origine : Hastérion
Métier : Marchand, Guide touristique, Professeur
Equipe :
Lun 15 Fév - 17:08
Le Passeur
Joyeuse St Valentin
Aucun souci Mari, comme tu peux le constater même avec deux jours de latence, j'ai fait le tirage en retard
Cependant, chose promise, chose due: les légendaires du ship vous ont tirés vos dates ! L'heure est donc venue pour vous d'enfiler votre plus belle tenue, allumer les bougies et lancer la musique romantique (je suggère careless whisper pour les amateur.e.s de drama)
Blind dates
Rex M. de Gardefier & Byakuren Kimura Hécate & Lorenzo Canegli Céleste & Le Passeur (Arabis) Marigold Whiterun & Salem Yōkai & Zenjiro Saito Charlie & Meg Andraste R. Dell'Anna & Virgile Marcial
Maintenant, à votre tour ! Vous pouvez dès maintenant poster des OS à la suite de ce message ou vous faire de courts RP dans la section 'Jeux concours', le tout est d'intituler le post "Event St-Valentin: Personnage & Personnage" pour qu'on comprenne ce qui se passe. Bien sûr, si le duo qui a été pioché ne vous inspire simplement pas à écrire, libre à vous de ne pas le faire ! Sachez simplement qu'on gardera les Chococoeurs, du coup
Amusez-vous bien
Byakuren Kimura
Admin
Or : 370
Origine : Kii
Métier : Apprentie prêtresse
Equipe :
Dim 28 Fév - 14:03
Byakuren Kimura
j'ai fait le premier OS c'est dans un AU où Byakuren est l'élue d'une prophétie et voyage vers son objectif, recrutant des compagnons de voyages venus de divers horizons au fur et à mesure. Un truc qui fait un peu 'journey to the west' concrètement, bien que je ne le développe pas beaucoup pour rester brève. ce n'est pas,,, très shippy, parce qu'on sait tous qu'aucun des deux n'est intéressé, mais ça reste chou je pense
Byakuren / Rex:
tu as un nouvel allié, Byakuren du moins, si on peut vraiment dire ça
Hécate a eu beau grommeler que « l’élue n’a pas à ramasser les chiens errants » foudroyant l’homme-bête de son regard d'or, tu n’as pas eu le coeur de chasser celui-là. Il avait l’air un peu triste, derrières dents pointues et ses aboiements. Fort dépité de se retrouver sans sa meute. Alors tu lui as proposé de vous accompagner.
Si Rex et ses ‘frères’ vous causé du souci par le passé, pillant des villages et semant un chaos indéniable, tu ne penses pas qu’ils soient bien méchants. (juste pas très futés) Pas suffisamment pour que tu les laisses se faire capturer par des braconniers, du moins.
d’autant que Rex n’est pas inutile pour preuve, il vous a ramené un Cerfrousse
« Joli. » commentes-tu tandis qu’il laisse tomber le gibier près du feu
L’homme répond par un grondement dédaigneux, secouant la tête. Il s’écarte en boitillant mais ne va pas trop loin, gardant ses yeux rivés sur la bête comme s’il craignait qu’elle ne revienne à la vie. (avec la plaie béante dans sa gorge, tu en doutes) Comme s’il la défiait de le faire.
« Il y a.. un problème ? » hasardes-tu
Couteau à la main, tu t’es déjà approchée pour dépecer le monstre. Préparer le tout prendra quelques temps, mais au moins aurez vous un repas consistant ce soir. Suffisamment pour nourrir le groupe entier. A supposer que le dégoût luisant dans les yeux clairs de Rex ne l’empêche pas de manger, du moins.
« Foutue bête. » crache-t-il, venimeux
Tu fronces les sourcils, tournant la tête vers lui plutôt que le Cerfrousse. Il montre les dents. Sa posture est vraiment.. instable. Si tu peines à en être certaine, dans la lumière vacillante du feu, il te semble voir du sang dégouliner de sa cuisse.
« Elle t’a blessé. » affirmes-tu, rangeant temporairement le couteau, « Laisse-moi faire. »
Il recule nerveusement, au départ. Tu t’y attendais. Vous avez beau voyager ensemble depuis quelques lunes ça ne signifie pas que la confiance règne. Rex s’est peut-être acclimaté à toi, Byakuren, mais une bête blessée ne se laisse pas aisément approcher. Alors tu insistes, gardant ta voix basse et tes gestes lents. Tu patientes jusqu’à ce qu’il accepte, allant s’asseoir dans l‘herbe un peu plus loin, sa jambe blessée étendue devant lui.
Un sourire bienveillant te vient: excellent. Tu aurais été bien embêtée qu’il s’obstine et s’occupe mal du problème. Rex n’est certes pas (toujours) un incapable, mais en tant que leader, tu te sens obligée de vérifier par toi-même. Alors tu t’agenouilles à sa hauteur. Nettoies soigneusement la plaie à la lueur des flammes. Appliques une salve désinfectante pour lui éviter des ennuis, ignorant les coups d’oeil nerveux et petits sursauts de ton patient. Ce n’est rien, murmures-tu occasionnellement, espérant le rassurer. Tu sais ce que tu fais.
« Voilà. » annonces-tu une fois la plaie bandée
Lorsque tu lèves la tête vers lui te semble voir quelque-chose éclairer son regard. De la reconnaissance, peut-être. Rex se fend d’un sourire canin, bondissant presque sur ses jambes dans sa bonne humeur. A cet instant précis, la comparaison avec un chien te semble fulgurante. A certains égards, Hécate n’a pas tort. Mais malgré une touche d’affection, tu te gardes de lui tapoter la tête.
il semble te faire davantage confiance ce serait idiot de le braquer tout de suite
Céleste
Admin
Or : 660
Origine : Kalos
Métier : Guide, coursier & pickpocket
Equipe :
Dim 28 Fév - 23:21
Céleste
j'ai également fait celui de Cel, opla pas d'AU pour celui-là, toujours pas entièrement shippy, mais l'aspect de 'les légendaires, ces shippers fous' est évoquée
Céleste / Le Passeur:
« Je ne crois pas t’avoir invité à entrer. » remarque une voix depuis l’autre pièce
Occupé à remplir ton sac de vivres, tu réagis à peine. Ce n’est pas la première fois que le marchand le plus riche d’Aros te trouve dans sa demeure à un horaire indécent de la journée. Pas non plus la première fois qu’il ne fait rien pour te chasser, Céleste. Tandis que ses pas se rapprochent, tu te retournes lentement, souriant derrière ton masque.
« Vraiment ? J’étais certain. » assures-tu, refermant ton sac
Le marchand secoue la tête. Croise les bras d’un air désapprobateur, ses yeux clairs cherchant les tiens. Dans la lumière filtrant à travers a fenêtre, ils semblent d’un gris presque argenté. Un brin plus fascinant que tu ne veux bien l’admettre.
« En te remerciant. » ris-tu, passant le sac à ton épaule
Ca ne lui manquera pas. La riche demeure dans laquelle vous vous trouvez en est la preuve. Ce ne sont pas quelques baies et bibelots précieux dérobés qui handicaperont Arabis. D’autant que tu comprends bien ce qui se passe, Céleste. S’il voyait un réel problème à tes larcins, il t’aurait déjà empêché de revenir. Fenêtres mieux fermées, monstre de garde, il a certainement les moyens d’assurer a sécurité de ses biens.
mais curieusement, il n’en fait toujours rien tu vas finir par croire que c’est pour tes beaux yeux
Quel dommage: tu ne comptes pas les lui faire voir. Maintenant une distance prudente entre le marchand et toi, tu retournes vers le balcon par lequel tu es entré, prêt à regagner les toits. Cyclamen t’attend dehors, pour récupérer le sac contenant tes larcins. Ce n’est certes pas très lourd, mais autant encombrer tes mouvements le moins possible. Minimiser le risque de chute.
Cependant, si ton esprit est déjà sorti par la fenêtre, il semble qu’Arabis n’en aie pas fini avec toi. Le marchand est sur ton passage. Sans son masque à cornes, tu lui trouves un air curieusement humain. Moins inaccessible.
mais pour te faire baisser ta garde c’est loin d’être suffisant
« Sais-tu pourquoi je ne t’ai pas fait arrêter, Céleste ? » demande-t-il alors
Voilà qui t’interpelle. Si tu t’efforces de garder une posture détendue, tes épaules se crispent immédiatement. Ton poignard n’est pas loin. Un seul mouvement brusque et tu n’hésiteras pas à l’utiliser.
pourtant, l’expression du marchand est douce il te sourit comme si de rien n’était
« Ce n’est pas simplement par bonté d’âme. » tu n’en doutes as un instant
Inclinant la tête sur le côté pour faire signe que tu écoutes, tu ne juges cependant pas utile de répondre. Arabis ne t’a jamais empêché de partir. Pire: il n’a pas l’air de le faire pour récupérer ses biens. Son attitude ne fait pas sens et c’est bien ce qui met tes nerfs à vif.
« J’ai reçu une prédiction, vois-tu. A propos d’une âme soeur qui s’inviterait chez moi et repartirait comme un courant d’air. Qui voltigerait aux côtés des étoiles, hors de portée en un instant. » tu déglutis tandis qu’il s’approche à pas mesurés, « Clairement des sornettes. »
Tu ne peux t’empêcher de sourire: sur ce point-là, impossible de le contredire. Pour des raisons qui te regardent, tu ne crois pas vraiment au concept d’âme soeur. Pas pour toi, Céleste. C’est trop.. parfait.
« Tu m’as surpris, la première fois que tu es grimpé ici. Plus je te vois revenir.. » il approche encore, et tu tentes de le contourner, « plus je me trouve convaincu. »
Il t’intercepte un instant après que tu l’aies dépassé, retenant ton épaule du bout des doigts. Tu sursautes malgré toi. (un frisson court dans ton dos) Arabis te dépasse d’une tête, Céleste. Il incline la tête d’un côté, un air partagé entre l’amusement et l’expectative. Sans doute attend-t-il une réponse. Tu doutes que la tienne soit satisfaisante.
« Il faudra davantage qu’une prédiction. » railles-tu, pivotant vers lui, « Mais tu as été bien aimable, alors je vais t’apprendre un secret. »
A vrai dire, tu n’es pas très sensible au baratin du Passeur. (aussi esthétiquement plaisant soit-il) Tu as surtout intérêt à préserver l’état actuel des choses, où il te laisse filer sans appeler les gardes, des provisions en poche. C’est un curieux manège et à y réfléchir, il l’alimente sans doute davantage que tu ne le pensais au départ. Il fait suffisamment de courses pour deux, certaines restant parfois en évidence au lieu d’être rangées. Laisse une ou plusieurs fenêtres ouvertes. Ne fait rien pour alerter la garde.
somme toute, il t’invite à voler ce qui est fort suspect
Mais si ta méfiance gronde de ne rien lui donner, au risque de l’encourager, tu es trop curieux pour laisser passer l’occasion. Trop joueur. Ca risque de te causer du tort, Céleste. Pourtant, loin d’être dissuadé par le risque, tu remontes une main gantée vers ton masque. Le fais glisser sur ton front. Esquisses un sourire qu’il peut voir ,cette fois-ci.
« N’essaie pas de me trouver de nuit, et peut-être que je reviendrai. » railles-tu tandis qu’il papillonne des yeux
la main du Passeur quitte ton épaule le masque reprend sa place
puis, sans un regard en arrière tu retournes voltiger dehors
Yōkai
Admin
Or : 250
Métier : apothicaire / empoisonneur
Equipe :
Jeu 4 Mar - 0:35
Yōkai
et hop j'ai fait celui avec Yokai & Zenjiro parce que je pouvais c'est dans un AU où Yōkai est effectivement la divinité du temple abandonné, comme le croient les Kiiois IRP et well,,, je voulais faire un truc méchant mais j'ai échoué
Yōkai / Zenjiro:
il y a un humain, au pied de ton temple un humain important, te semble-t-il
S’il n’est pas aussi richement décoré que certains humains de Scémède (ceux qui se croient importants), sa prestance est indéniable. Même pour toi, Yōkai, il n’a rien d’ordinaire. Tapi dans l’ombre d’un pilier, tu observes ce que te révèle le clair de lune. De longs cheveux noirs. Une large stature. Un dragon soigneusement encré dans la peau de son épaule. Tu ne tardes pas à le reconnaître.
celui qu’ils appellent le Général ne devrait-il pas prier un autre dieu ? (un faiseur de paix, celui qui veille sur Kii)
C’est pourtant devant la statue mousseuse de ton temple qu’il allume de l’encens. C’est devant ce bâtiment vermoulu, abandonné par les siens depuis des années, que le chef des Kiiois vient se recueillir. Un discret frisson court dans ton dos. La sensation d’une prière. (d’une supplique) Voilà bien longtemps qu’on ne t’en a pas adressé, Yōkai. Suffisamment pour que ton vrai nom se perde. Suffisamment pour que tu plisses les yeux, désormais intrigué.
Il est venu espérer la paix, apprends-tu en écoutant. Une paix que, curieusement, son dieu ne lui procure pas. Quelle ironie. Tu ne peux contenir un léger sourire, t’affaissant un peu contre le pilier. Les prières continuent en un filet dense et mélodieux.
tu écoutes tu apprends
Tu apprends comme la foi le quitte et l’amertume le gagne. Comme son dieu lui a pris sa femme puis son meilleur ami sans donner quoi que ce soit en retour. Comme il s’en veut de n’avoir rien pu faire autre que les voir partir. Ses regrets ont une odeur âcre. Sa colère un semblant de piquant.
Tu n’es pas un dieu de paix, Yōkai. (pas que tu te souviennes) Mais tu es un dieu de silence, et puisque le Général a fait l’effort de venir jusque dans ce coin reculé de montagne, au pied d’un autel oublié, tu peux bien tenter quelque-chose. Par politesse.
Dans l’ombre du pilier, ta forme s’évanouit. C’est près du torii qu’elle se reconstitue, aussi humaine que tu peux te le permettre. Tes oreilles sont pointues, ton visage peint d’écarlate et tes dents plus acérées que celles des mortels, mais tu fais illusion. Lorsque le Général remarque ta présence, il semble davantage surpris de ne pas t’avoir entendu venir que de quoi que ce soit d’autre. Il se redresse presque en sursaut. T’étudie nerveusement.
« Mes excuses, » fais-tu d’un ton égal, « d’ordinaire, personne d’autre ne vient ici. Vous m’avez.. intrigué. »
Rien de faux dans tes propos. Rien d’entièrement sincère non plus. Tu regardes le mortel regagner sa contenance, gestuelle soudainement plus raide maintenant qu’il se sait observé. Lui adresses un sourire aussi inoffensif que possible. (un sourire qui cache tes dents) Il finit par répondre, d’une voix plus grave que tu ne l’avais imaginée à travers les prières, admettant venir pour la première fois. Tu t’en doutais. (tu ne lui dis pas) S’en suit une brève conversation où vous ne vous présentez pas, et ayant posé ton sac d'apothicaire, tu demandes s'il aimerait un thé.
l’air est frais, ici mais il refuse ton offre (comme tu t’y attendais)
Loin de t’en offenser, tu inclines la tête, avançant à ton tour vers la statue, quelques plantes à la main en guise d’offrande. C’est ce que tu préfères recevoir, pour être honnête. (pas que tu reçoives grand-chose, ces temps-cis) Le Général te suit du regard un moment avant d’annoncer son départ, mots auxquels tu ne réponds que par un mouvement de tête.
ce fut une brève interaction mais il te semble qu’il reviendra
plusieurs lunes s’écoulent et comme tu le pensais il revient au temple
Il revient plusieurs fois, à des intervalles irréguliers, déposant différentes offrandes au pied de la statue. Parfois de l’encens. Parfois des plantes. Parfois des gâteaux sucrés, que tu offres au Zorua qui rôde dans l’arrière-cour. Tu ne lui apparais pas à chaque fois (ce serait suspect), mais au bout de la première lune, il accepte de boire un thé. Vous parlez peu, mais ça ne t’ennuie pas. Au contraire.
Au bout de la quatrième lune, il commence à te sourire. (une expression curieuse, quoiqu’elle convienne à son visage) Vous n’êtes pas amis, vous ne vous êtes même pas présentés. Mais vous êtes.. quelque-chose. Sans doute. Sa compagnie ne te déplait pas.
Le Zorua du temple te regarde étrangement, un soir où tu retournes à l’autel intérieur avec un petit paquet entre les mains. Un paquet de thé. Six lunes se sont écoulées depuis la première visite de Zenjiro et il est encore parvenu à t’étonner. Ce n’est certes pas la première fois que tu ramènes quelque-chose ici, Yōkai, mais c’est la première fois qu’on te fait un cadeau. Pas une offrande. Un.. signe d’appréciation, tu imagines.
c’est un concept moyennement perturbant mais puisque c’est du thé, tu ne t’en plains pas
S’il t’offre ceci, tu supposes qu’il va mieux. Tu le sais, même. Ses prières perdent en amertume depuis maintenant deux lunes. Les noms de sa femme et son ami perdus sont évoqués avec moins de chagrin, et il arrive que celui de sa fille apparaisse. Une fascinante évolution. Pourtant.. ça ne te déplait pas, penses-tu en caressant la tête du Zorua.
tant de bêtes errantes te rendent déjà visite un humain avec de l’esprit est tout à fait acceptable
Charlie
Or : 270
Origine : Galar
Métier : Saltimbanque
Sexualité : boys ♪ boys ♫ boys
Equipe :
Ven 5 Mar - 2:11
Charlie
Je connais pas des masses Meg alors j'espère ne pas trop massacrer son perso :c Au pire on dit c'est un AU pis voilà.
Charlie & Meg:
"La nuit est froide à Aros". Du moins, c'est ce que disent les habitants. De ce que j'ai pu entendre, plus qu'un vers de poésie, c'est un dicton, entré dans le vocabulaire de centaines d'Arosien. Je n'étais pas réellement convaincue. Certes, la brise marine venait s'écraser sur mon visage et me chatouillait de sa fraicheur, et alors ? Ce n'était rien comparé à l'hiver Galarien. Ni au printemps, l'été et l'automne. Il faisait décidément toujours un temps de Ponchien dans cette foutue région. Les Hastériens devraient être heureux de ne souffrir que de quelques grelottements. Moi, avec une simple laine sur les épaules, je me portais très bien, voyez donc ! Mes compagnons n'étaient pas tous d'accord. S'ils avaient plus froid que moi, ils n'auraient pas osé se plaindre pour autant : ils avaient connu la tempête de neige à Kii, alors ils serraient les dents - ou le bec, et gonflaient leur pelage - ou plumage, en attendant que ça passe. J'étais bien fière d'eux !
Venant tout juste d'arriver, je ne m'étais pas attendue à trouver si peu de monde dans les rues. Ma première erreur fut de dormir toute la nuit et de me réveiller à l'aube, espérant me faire quelques pièces en musique. Si j'avais su, j'aurais plus volontiers donné un spectacle nocturne... je ne ferais pas cette erreur deux fois. Et puis, la bise de ce début de printemps me maintiendrait éveillée plus de vingt-quatre heures, s'il le fallait ! Pas que je manque de confiance en mon propre corps. J'étais encore bien trop jeune pour m'écrouler tous les soirs comme le faisait mon défunt père. J'avais mangé plutôt copieusement ces derniers jours, grâce à de généreux bourgeois, alors j'aurais pu jouer pendant trois jours de suite si nécessaire. Pas littéralement, non, car le mocassin qu'on m'avait lancé par la fenêtre pour faire taire mon pipeau au lever du Soleil m'avait bien refroidie.
Je décidai de saisir cette chance d'explorer les rues pavées. Certes, elles manquaient de monde, mais au moins, je risquais moins de m'y perdre. Pas de mouvement de foule, pas de voleurs discrets n'attendant que de me faire les poches en profitant de la distraction. Découvrir Aros sans ses habitants, alors que la grande étoile dans le ciel brillait, était une drôle d'expérience : comme visiter une ville fantôme. Le genre de réflexions qui donnait bien envie de faire des bêtises. Qui me verrait, après tout ?
C'est en début d'après midi que mon instinct de primate prit le dessus. Joey était fier, et surtout ravi, de me voir grimper sur le toit d'une habitation grâce à un chariot qui appartenait sûrement au marchant qui vivait là. Il eut bien moins de mal que moi à se hisser, sans parler d'Alice qui n'eut qu'à battre des ailes avant de se poser sur mon chef, suivi d'Arsène, qui suivit sans difficulté mais non sans se plaindre. Ce qu'il était paresseux... Pourtant, une fois en hauteur, il était aussi émerveillé que moi. Ce n'était pas le perchoir le plus haut de la ville et pourtant, la vue sur le port et les nombreux bateaux amarrés faisait rêver. Ce n'était pas assez pour ma petite âme curieuse : je voulais en voir plus. Une fois sur les toits, il devenait plus facile de monter, se servant de maigres différences de hauteur pour atteindre les endroits plus difficiles. Je me sentais comme un Miaouss sauvage, et pris même mes aises au point de courir, réveillant sûrement quelques humbles citoyens qui durent croient à un tremblement de terre.
Après une course effrénée, je finis par m'assoir sur l'un des plus hauts bâtiments, plutôt satisfaite de moi, et peu soucieuse de comment j'allais redescendre. Pour le moment, je profitais, simplement. C'est seulement après de longues respirations pour reprendre mon souffle que mon regard se posa sur l'ultime épreuve : le phare. Ça n'allait pas être une partie de plaisir que d'atteindre ce qui semblait être une fenêtre, certes. Pourtant, je ne comptais pas m'arrêter-là, prise dans ma folie des grandeurs. J'étais peut-être de petite taille, et je n'étais pas un athlète, mais des années à vagabonder sur les routes étaient un exercice non négligeable : je savais que je pouvais y arriver.
Je ne savais pas à quoi m'attendre à l'intérieur. Sûrement les fameux érudits, endormis dans des quartiers hauts perchés, ou alors un Pokémon Electrik, attendant patiemment la tombée de la nuit pour éclairer les marins. Encore plus probable : un vieux grenier rempli de livres poussiéreux et de Mimigal. J'avoue que je n'aurais pas fait la fière en tombant nez à nez avec une horde d'araignées, brr. Le dernier bond ne fut pas le plus réussi, ni le plus gracieux. Je doutais que de nombreuses personnes tentent ce genre d'acrobaties pour de bonnes raisons. C'est en m'agrippant de toutes mes forces que j'étais parvenue à remonter sur le bord de la fenêtre sans chuter de trop de pieds pour m'en sortir indemne. Comment allais-je être récompensée par ma curiosité ? Ou punie ?
La dernière chose à laquelle je me serais attendue était de rencontrer les yeux d'une enfant. Elle ne devait pas être plus vieille que moi, à en juger par son apparence. Son expression trahissait un mélange de confusion, de curiosité et de terreur. La dernière chose dont j'avais besoin, c'était qu'elle se mette à crier et attire ce que j'imaginais être de puissants gardes du corps. Pour quelle autre raison une jeune fille serait-elle enfermée en haut d'une tour ? Pour lui intimer de se taire, je portai mon index à ses lèvres, non sans grincer des dents, espérant la convaincre. Miracle : elle se calma. Je pense surtout pouvoir remercier mon physique de gringalet pour ça. Je suppose que si j'avais été un homme adulte, elle ne m'aurait pas si bien accueillie.
Glissant doucement le long de la fenêtre, je me faufilai à l'intérieur, très intriguée par cette inconnue. Un sentiment visiblement mutuel. On aurait dit deux enfants sauvages se rencontrant par hasard au milieu d'une forêt sombre.
Qu'est-ce que tu fais ici ? C'est pas un endroit pour une fille comme toi, ça...
Joey me suivit, surgissant de derrière mon dos et saluant notre interlocutrice d'un signe de main. Du haut de la lucarne, la Pijako nous surveillait, trop timide pour s'approcher. Connaissant le renardeau, il n'avait même pas essayé de faire le bond qui le séparait de nous. Je ne pouvais pas le blâmer, il n'était pas courageux, mais au moins il n'était pas fou.
Je suis la gardienne d'Aros, sembla hésiter la demoiselle. C'est une coutume locale d'enfermer les filles dans des tours ? T'es pas une princesse quand même ?
Ma question sembla l'amuser. Je me pris au jeu et ris à mon tour, bien qu'un peu gênée. J'avais demandé de bon cœur, et non pour plaisanter. Au moins, la question était répondue et je ne passais pas pour une imbécile.
J'me présente : Charlie ! Je suppose que ton nom c'est pas "Gardienne d'Aros", si ? Meg, enchantée !
La blonde avait bien plus de manières que moi. Entre ces murs décorés jusqu'au plafond, cette pièce remplie de cadeaux plus précieux que ma propre existence et face à Meg, je devais faire tache.
Tu t'ennuies pas trop ici ? T'as le droit de sortir quand même, non ? ses yeux répondirent au négatif. Dis-moi plutôt d'où tu viens, tu n'as pas l'air d'Aros.
Sa tentative de changer de sujet ne m'avait pas échappé, et je ne comptais pas la harceler. Je finis mine de ne pas m'en soucier.
Mince, qu'est-ce que c'est ? Mes vêtements ? Ou alors ma tête de Galarien ? Peut-être l'accent ? Je viens de loin, oui, Aros n'est qu'une étape, je suppose.
Je rêvassai presque, pensant à tous mes souvenirs de voyage. Pendant ce temps, mes jambes se plièrent sans que j'y porte vraiment d'attention, assez détendue pour me permettre de m'assoir en tailleurs face à Meg.
Galar ? Oh s'il te plait, dis-m'en plus !
J'admets avoir été très surprise de son engouement. Ma terre natale faisait rarement rêver. On l'assimilait à la pluie, la boue et le brouillard, ce qui était totalement vrai. Pourtant, je l'aimais, et que le reste du monde pense le contraire me pinçait parfois le cœur. Entendre une personne légitimement curieuse me fit revivre. Oh, elle allait regretter de m'avoir lancée sur le sujet. Je ne sais pendant combien de temps j'ai radoté. Il fallait dire qu'elle m'encourageait à chaque fois que je m'arrêtais pour fixer ses grands yeux bleus, attendant qu'elle parle d'elle à son tour, ce qui n'arriva pas. Je finis par presque tout lui raconter : le vieil homme qui m'avait trouvé, notre vieil ami Fulgudog, comment j'avais appris à lire la musique et à quel point elle était devenue ma vie, mes divers voyages à travers Galar, ma rencontre avec Joey - qui ne manqua pas de se faire entendre en comprenant de qui je parlais, et enfin mon départ, en tentant maladroitement d'atténuer le sujet de la mort de mon père. Ce n'était pas très joyeux mais eh, c'était la vie. Je ne pouvais pas décemment finir sur une note pareille. Je ne voulais pas rendre cette pauvre enfant triste, après tout, elle avait l'air si innocente... Pourtant, elle me coupa. Depuis que j'avais prononcé certains mots, elle devait s'être fixée dessus.
Tu joues de la musique ? Oh, je ne demande qu'à voir ça !
Je n'étais pas certaine que jouer du pipeau dans un endroit où j'étais quasiment sûre d'être privée d'entrée était une bonne idée. Les sons aigus risquaient d'attirer tous les gardes de la ville. En revanche, peut-être qu'un autre instrument pourrait passer plus inaperçu.
Oh, qu'est-ce que c'est comme instrument ? demanda-t-elle, les yeux pleins d'étoiles. Un ocarina ! On n'en voit pas des masses, même à Galar ! C'était un cadeau d'un autre musicien !
Et j'en étais fière de cet ocarina. Si j'avais moins l'occasion d'en jouer car il attirait moins la foule que le cri strident d'un picolo, le son en était ravissant. Je le portai à mes lèvres et commençai à souffler quelques notes, d'abord au hasard, avant de me laisser emporter sur un air familier. Un air que j'avais répété et joué des millions de fois et sonnait monotone à mes oreilles. Pas à celles de Meg. Elle m'écouta jusqu'au do final, avant d'applaudir chaudement.
C'était magnifique ! Ce n'était pas grand chose, vraiment... hésitai-je en rougissant, les yeux baissés. C'était étrangement plus dur de performer pour une personne que pour une foule. Sûrement car cela me rappelait mes entraînements. Est-ce que... je pourrais essayer aussi ?
Ma confusion dut être facile à lire, car la main tendue de la jeune fille se rétracta vite, avant de baisser la tête, honteuse. Elle avait dû croire que je lui refuserai cette offre. Avant qu'elle ne puisse s'excuser, je pris son poignet de force avant de poser dans la paume de sa main la ba boule d'argile. Son regard surpris rencontra le mien, et je lui souris doucement. Je ne voulais pas passer pour une pingre, je n'étais pas Kalosienne, quand même ! Tout ce que je craignais, c'est que l'instrument se casse. Or, Meg semblait délicate. Au pire, elle ne parviendrait pas à en jouer.
Ainsi, sans surprise, si elle tenta de souffler plusieurs fois, elle ne parvint qu'à faire sortir la même note, trop maladroite pour déplacer ses mains sur les touches. Je la voyais déjà abandonner. Pas sous mes yeux. Certains y verraient une bonne professeure, d'autres de l'entêtement, mais je comptais bien aider cette pauvre jeune fille à jouer. Au moins une gamme, pour qu'elle en soit fière.
Attends, laisse-moi t'aider !
Alors qu'elle écarta l'embouchure de son visage, je pris ses mains pour les glisser le long de l'ocarina, afin de les apprêter à jouer. Si elles n'étaient pas bien mises, elle risquait juste de se briser le poignet à vouloir changer de notes, je ne le savais que trop bien.
Tu vois, pour un do, il faut garder le pouce et l'index appuyé, ensuite le majeur pour le ré, et ainsi de suite.
La Gardienne s'exécuta. Gardant ses doigts fixés, comme ceux d'une statue, dans la position que je leur avais donné, elle s'époumona avant d'enfin réussir à sortir un do grave sonore. Elle me regarda, le temps d'échanger deux sourires, et elle tenta le ré. Pour lui aussi, il fallut plusieurs essaie. Après ce qui devait être une dizaine de minutes, elle était parvenue à jouer une gamme entière, non sans accrocs, mais une gamme entière quand même !
Eh bien, tu dois être née pour être musicienne ! C'est pas facile à jouer tu sais !
Elle me rendit l'instrument, les joues roses. Elle était terriblement fière d'elle, ça se lisait sur son visage comme un livre ouvert - enfin, façon de parler dans mon cas.
Tu en as de la chance de jouer aussi bien, tu es très doué ! Merci.
Une réponse assez simple, témoignant de ma gêne. J'avais pour habitude de recevoir de l'argent comme paiement, pas des mots. C'était... étrangement touchant. Je laissai mon regard divaguer pendant ce moment de silence. La chambre était magnifique, du genre dont je rêvais quand je me voyais mariée à un prince. De belles tapisseries, des jouets par milliers et des montagnes de livres. Je les sentais me narguer.
Tu aimes les livres, Charlie ? demanda Meg, qui avait vite compris ce qui avait attiré mon attention. Oh, je ne sais pas lire malheureusement. Mais ils sont très beaux !
En entendant ces mots, la blonde sembla outrée. Elle se leva, sans un mot, avant d'attraper un roman à la reliure de cuir. Elle me rejoint et s'assit, avant d'ouvrir l'ouvrage.
C'est une de mes histoires préférées ! Je peux la lire avec toi si tu veux !
Je sentis mon coeur battra à travers ma poitrine. Comment avait-elle su viser si juste ? Je ne répondis même pas, me contentant de passer ma tête derrière son épaule pour faire mine de lire tandis qu'elle narrait. Je jalousai son intelligence autant que j'admirais sa lecture. Complètement prise dans l'histoire, j'avais tout oublié autour de moi. J'avais presque l'impression de lire moi-même ces lettres qui n'avaient aucun sens. Malheureusement, après deux chapitres, elle claqua le livre, manquant presque de me pincer le nez tant je m'étais approchée des pages, absorbée par le récit.
Quelqu'un monte !
Effectivement, le son de pas se rapprochant se faisait entendre. Je ne l'avais même pas remarqué... mes sens de voleur s'étaient affaiblis, apparemment.
Je ferais mieux d'y aller, je ne pense pas être le bienvenu...
Meg ne nia pas. Elle savait mieux que moi ce que j'encourrais si j'étais attrapée ici avec elle.
Dommage pour l'histoire, tu racontes très bien, Meg, c'était un plaisir !
Elle ne m'écouta pas. Elle se rapprocha de moi, ouvrit ma besace sans mon accord et tenta tant bien que mal de faire rentrer le roman en écrasant ce qu'il s'y trouvait déjà.
Là, comme ça on pourra continuer l'histoire la prochaine fois que tu viendras !
Je n'avais juste pas les mots. Mon propre livre ? Tout du moins, jusqu'à ce que l'histoire se termine et que je doive le rendre... mais mon propre livre quand même ! Je caressai la reliure, pleine d'émerveillement, avant de reprendre mes esprits. Je devais filer. Avant ça, j'avais quelque chose d'important à faire. Je m'avançai vers Meg et l'enlaçai fermement, à la manière d'un Ursaring. J'avais oublié à quel point j'aimais les embrassades. Quel dommage que je n'aie pas vraiment l'occasion d'en partager. J'aurais volontiers prolongé mon affection plus longtemps si je n'avais pas dû me dépêcher. Les pas devenaient dangereusement proches.
Je reviendrai avant de quitter Aros, c'est promis !
Je ne fis qu'un signe de main avant de me hisser et de disparaitre par la fenêtre, suivie du macaque, un peu hésitant. Lui aussi avait beaucoup apprécia la présence de la jeune fille et était attristé de devoir la quitter. Je sentais qu'à mon prochain passage, il annoncerait mon arrivée en bondissant le premier dans le phare.
Le Passeur
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Ven 5 Mar - 22:22
Le Passeur
quand on aime, on ne compte pas
Récompenses
Avec un brin de retard, je viens clôturer l'event ! Merci à tous les participants, même si vous n'avez pas eu le temps d'écrire, c'était amusant d'avoir vos personnages à lancer dans la machine à ship ! Les missions romance sont également retirées, peut-être reviendront-elles quand l'occasion se présentera.. Pour ceux qui ont eu le temps, voici comme promis les récompenses !
Charlie, Yōkai, Byakuren Kimura et Céleste
Pous vos OS, vous recevez chacun un noeud destin et trois chococoeurs
Le noeud destin vous permettra de recroiser le chemin d'un Pokémon vous étant déjà apparu, donc si vous regrettez d'avoir laissé filer ce Toudoudou la dernière fois, vous pourrez toujours le revoir ! Les chococoeurs seront utiles aux bagarreurs et explorateurs: ils font regagner quelques PV au Pokémon qui le mange !
Ce fut un plaisir d'écrire l'event pour vous, en espérant qu'il vous a plu ! Des keurs
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