-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Dunk Low
64.99 € 129.99 €
Voir le deal

 :: Retour au Présent :: Archives :: Rp terminés Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

Chronique d'un chat #2

Dolorès L. Muñoz
Dolorès L. Muñoz
Admin
Or : 525
Métier : Gitane ( Voyante )
Sexualité : Libertine
Equipe : Chronique d'un chat #2 Bourri10Chronique d'un chat #2 Leopar10
Mer 31 Oct - 14:39
Dolorès L. Muñoz
Chronique d'un chat #2 Original

La journée avait été agréablement courte pour le petit chat violet. Il était tellement fatigué, qu'il avait dormi toute la journée. La gitane avait beau le remuer dans tous les sens pour le couvrir de câlin et de baiser, cela ne l'avait pas sorti de son sommeil de plomb. Il était dix huit heure, et le soleil était déjà presque entièrement caché derrière les bâtiments d'Aros. Quand la fraîcheur de la pluie et de la nuit vint caresser le duvet chaud du chat, cela le réveilla presque instantanément, animé par un instinct primaire: la chasse. Certes, Dolorès le nourrissait de petits poissons cuisinés au feu de bois, mais cela ne rassasiait pas sa soif d'aventure, et de traque.

Alors, sur les coups des dix neuf heure, après avoir prit le temps de faire sa toilette et de s'étirer jusqu'à s'en décoller une vertèbre, le mâle quitta la carriole pour une nouvelle aventure. D'habitude, il n'aimait pas vraiment la pluie. Mais cela avait au moins le mérite de faire fuir les humains. Il avait déjà fait un tour du côté des ruelles, mais la présence des nombreux hommes l'incommodait grandement. Les plus petits d'entre eux voulaient systématiquement le prendre dans leur bras, et Hannibal avait horreur de cela. Avec leurs petits doigts boudinés et rempli de gras, ils salissaient son beau pelage violet, et ruinait son toilettage impeccable. Cela était intolérable. Combien d'enfants le petit chat violet avait du griffer jusqu'au sang pour qu'ils le laisse tranquille ? Beaucoup trop. Mais si c'était à refaire, il n'hésiterait pas une seule seconde.

Alors, esquivant avec soin les endroits où les hommes pouvaient se rejoindre, le mâle parti dans un endroit plus tranquille, plus paisible. Il s'agissait d'une colline déserte, composée exclusivement de sable humide. Les coussinets du mâle n'avaient pas l'habitude de cette sensation désagréable. Néanmoins, guidé par ses instincts de chasseur, le chat rasait le sol, les oreilles bien tendue en avant. Il cherchait une proie, petite ou grosse, qu'il pourrait débusqué. Le but n'était pas forcément de la manger, mais au moins de la trouver, et de l'immobiliser. Ce jeu était presque une drogue pour lui, et il en état sûr, pour tous ses autres collègues félins.  Le tout maintenant, était de trouver cette créature...

Quelque chose bougea au loin. Hannibal prit de l'élan, et bondit sur la chose beige qui remuait au gré du vent. Loupé. Ce n'était pas un animal, mais un bonbon. L'odeur sucrée qui se dégageait du papier le fit saliver. Après plusieurs minutes de lutte acharnée contre ce satané plastique, Hannibal put enfin savourer le bonbon qui y était logé. Cela ne remplissait pas son estomac, mais au moins, il s'était bien amusé en décortiquant cet emballage...
Revenir en haut Aller en bas
Le Passeur
Le Passeur
PNJ
Or : 2794
Origine : Hastérion
Métier : Marchand, Guide touristique, Professeur
Equipe : Chronique d'un chat #2 Miniature_0225_XY
Mer 31 Oct - 21:50
Le Passeur

 

This is Halloween


Ca aurait pu être pire !
Chronique d'un chat #2 Gtsc
Un bonbon reverso-psycho ! Quelque chose a changé mais incapable de savoir quoi. Rien de physique à première vue. En effet, cette transformation s'est faite intérieurement. Te voilà avec une mentalité complètement à l'opposé de celle habituelle.
Revenir en haut Aller en bas
Le Passeur
Le Passeur
PNJ
Or : 2794
Origine : Hastérion
Métier : Marchand, Guide touristique, Professeur
Equipe : Chronique d'un chat #2 Miniature_0225_XY
Ven 2 Nov - 22:20
Le Passeur

 

Attention !


Un Pokémon sauvage apparaît...

Chronique d'un chat #2 Sprite_6_x_056
Chronique d'un chat #2 Miniat_type_combat_7_s
Un Férosinge Normal ♂

Hannibal engloutit le bonbon un instant avant que le Férosinge puisse l'atteindre, ralenti par les dunes de sable. Le moins qu'on puisse dire, c'est que ça ne l'enchante pas ! Il tape du pied et tempête face à Hannibal, bien décidé à lui faire payer cet affront.

Revenir en haut Aller en bas
Dolorès L. Muñoz
Dolorès L. Muñoz
Admin
Or : 525
Métier : Gitane ( Voyante )
Sexualité : Libertine
Equipe : Chronique d'un chat #2 Bourri10Chronique d'un chat #2 Leopar10
Sam 22 Déc - 21:11
Dolorès L. Muñoz
Le mâle hoquette, fais quelques pas en arrière, et finalement s'assoie sur son joli fessier poilu. Quelque chose était entrain de changer en lui, et cela le rendit quelque peu étourdi pendant quelques instants. C'était certainement à cause de cette légère absence, qu'il ne remarqua pas immédiatement la présence du férosinge, qui s'approchait de lui dangereusement.

La créature était énervée: car elle avait envie de manger ce bonbon, mais aussi parce qu'Hannibal foulait son soi-disant territoire. Au bout de quelques minutes, désormais un peu plus calme et posé, le chat se rendit compte finalement de la présence de l'autre pokémon, mais ce fut trop tard. En un gémissement incontrôlé, le chacripan vola à quelques mètres plus loin, heurté par ce qui semblait être un coup de poing.

Que venait-il de se passer ? Cette fois ci un peu plus alerte, il releva la tête en un feulement cassé. Le férosinge tapa du poing sur le sol, lui aussi, très énervé. Il était plus grand que lui, et plus corpulent aussi. A vrai dire, Hannibal n'était pas un très grand monstre, et il était facile de le dépasser... Le singe avait une fourrure épaisse, blanche comme de la neige. De cette épaisse fourrure, l'on pouvait distinguer des grands yeux rougeâtres, et un groin rebondi. Des petites oreilles brunes dépassaient en haut de son crâne, et sa longue queue se balançait sur les côtés à vive allure, signe qu'il était mécontent. L'animal chargea une seconde fois, mais Hannibal esquiva habilement, étant plus souple et rapide que lui.

Le férosinge avait déclenché le combat, et le chat violacé aurait du lui renvoyer la pareille. Pourtant, il n'en fit rien. Il se contenta de fixer de ses grands yeux félins le mammifère, sans bouger. Le monstre se retourna, encore plus énervé d'avoir loupé son attaque, et se mit à taper le sol de nouveau. Hannibal était perplexe. Il fit pour la première fois quelque chose qu'il ne pensait pas être possible: il miaula un arrangement avec l'adversaire. Cela n'était pas dans ses habitudes. La plupart du temps, les rencontres qu'il faisait se terminaient par un combat à la loyale, afin de déterminer lequel était le plus fort. Enfin, cela concernait les mâles de manière générale. Pour les femelles... Hannibal a toujours prit le soin de les éviter.
Pourquoi ? Il n'en a pas peur, non. Il les méprise. Le petit chat n'est fait que de mépris et de supériorité, cela était certainement lié à sa race, les chacripans. Après tout, Gringo n'était pas du tout comme ça, et les autres monstres non plus. A moins que ce soit lui, le dissident ?

Le férosinge ne semble pas vouloir passer d'accord, et charge de nouveau. Plus agile et rapide que lui, Hannibal esquive encore une fois, amorti par le sable sous ses coussinets. Mais il était toujours incapable d'attaquer. Que s'était-il passé dans son esprit ? Lui qui avait l'esprit combatif, maintenant, était devenu un vrai hippie, contre la violence. Il se surprenait d'ailleurs à ressentir de l'empathie pour le férosinge.  Il se disait que, s'il l'avait attaqué, c'était certainement parce qu'il avait passé une mauvaise journée, et que ce n'était pas de sa faute. Hannibal tenta un nouveau miaulement plein d'amitié, afin de le faire changer d'avis. Mais l'adversaire bondit sans prévenir vers lui, et dans un coup d'adrénaline, le chat fit volte face, et entama un sprint gracieux et rapide.

La course poursuite était lancée. Hannibal n'osa pas regarder par dessus son épaule pour voir s'il le suivait toujours. Il se contenta de courir tant bien que mal, dans ce sable qui le déséquilibrait grandement. Mais peut être que cela désavantageait le singe aussi ? Le cœur battant à tout rompre, le mâle essaya de trouver une solution, une échappatoire à cette situation qui risquait de mal finir. Pour une fois qu'il laissait tomber le combat avant même d'y participer, c'était l'adversaire qui ne voulait pas le lâcher ! Quelle ironie !

Au bout de plusieurs minutes, la fatigue commença à se faire ressentir. Et en face de lui, un immense rocher lui bloqua le passage. Il ralenti le pas progressivement, cherchant du regard un endroit où il pourrait grimper pour se mettre à l'abri. Mais arrivé face au bloc de pierre, Hannibal commença à paniquer. Non, il n'y avait aucune prises. Il aurait très bien pu se servir de ses griffes, mais comment pénétrer de la roche ? C'était peine perdue. Il fit volte face, pour enfin regarder derrière lui. Ses yeux s'écarquillèrent, surpris: le férosinge n'était plus à ses trousses. Silencieux, le mâle dressa ses longues oreilles en avant, tentant d'entendre un bruit, ou un gémissement qui aurait pu trahir sa présence, mais rien. Il l'avait semé ? Il l'avait vraiment fait ?

Hannibal soupira longuement, et s'assied lourdement, relâchant ses pauvres muscles qui avaient été trop rapidement et intensément sollicités. Quelle soirée. Lui qui était venu pour faire un peu de chasse, s'était retrouvé à la place de la souris... C'est à dire, chassé. Lorsque son souffle revint un peu à la normale, il se lécha la patte, et replongea dans ses pensées. Pourquoi avait-il était si naïf, tout à l'heure ? Pourquoi il s'était laissé faire ? D'origine, personne ne lui manquait ainsi de respect. Puis soudain, il fit le lien: le bonbon. Ah, comment avait-il pu être aussi bête ?! Il s'était fait avoir la première fois, dans l'hôtel. Il avait vomi toute la nuit, sans compter sur le mal d'estomac affreux qui avait totalement gâché sa soirée, et son combat. Et là, voilà qu'il en mange un autre, et qu'il laisse complètement tomber l'idée de se battre ? Le mâle se demandait même si ce n'était pas un bonbon, mais un remède contre la violence, ou une autre invention farfelue de ces satanés humains. Après tout, c'était à cause de ça qu'il perdait en dignité. L'autre fois avec le miaouss, et aujourd'hui le férosinge... Heureusement pour lui, il n'y avait pas de témoin.

Alors qu'il entamait une autre partie de sa toilette, un bruit le surpris. Il se retourna en un sursaut, et ses pupilles se dilatèrent: il était revenu. Immobile, le souffle rapide, le férosinge avait un visage fermé, très colérique. Il gratta le sol avec ses mains, et grogna aussi fort qu'il le pouvait. Hannibal en eut presque le souffle coupé. Son adversaire triplait de volume en se gonflant du mieux qu'il le pouvait, et en quelques minutes seulement, il ressemblait à un énorme monstre. Le chat recula doucement, et se rendit vite compte que la fuite n'était plus possible: en effet, derrière lui s'élevait le monticule rocheux, qu'il ne pouvait escalader. Ce qu'il craignait allait finir par arriver: le combat était inévitable.

Hannibal feula doucement, incapable d'avoir au moins l'air méchant. Il n'était pas dans son état normal, et il savait qu'il allait devoir faire avec. Néanmoins, il tenta d'arrondir son dos pour avoir l'air plus imposant, même si son adversaire était beaucoup plus grand que lui. Pour la première fois depuis longtemps, Hannibal semblait avoir peur. Peur pour sa vie peut être, mais aussi peur de perdre un combat. Et cela semblait se voir sur son expression...

Au bout de quelques minutes supplémentaire, ce fut le férosinge qui se lança, attaquant directement avec le poing. Hannibal esquiva de nouveau son offensive, mais répliqua en un coup de griffe rapide dans son pelage blanc, si épais qu'il se demanda même si cela lui avait fait quelque chose. Hannibal atterrit sur ses pattes, tendis que le singe flanqua son poing dans le mur de pierre, de toutes ses forces. Un cri aigu s'échappa de la bestiole blanche, certainement à cause de la douleur. Immobilisé pendant quelques instants, le chat ne savait pas s'il fallait prendre la fuite de nouveau, ou se soucier de l'état de santé de son assaillant. Mais cette élan d'empathie lui coûta cher: comme si la douleur lui avait donné un coup d'adrénaline, le férosinge se retourna si rapidement qu'il ne vit pas le coup venir. Cette fois ci, le poing du primate vint se loger directement dans son visage si délicat, pour l'envoyer valser quelques mètres plus loin. Le sable humide vint se coller à son pelage violacé, créant une sensation des plus désagréables. Mais Hannibal n'avait pas le temps de penser à son confort physique: il souffrait, et devait être rapide. Après tout, il n'était pas à l'abri d'un autre coup. Ses yeux émeraude fixèrent le singe, alors que le reste de son corps tenta de se remettre sur patte. Son adversaire jeta un rapide coup d'œil à son poing endommagé, avant de reposer ses yeux, emplis de haine, vers la petite créature violette qui décidément, ne voulait pas l'affronter. Lorsqu'Hannibal arriva enfin à tenir debout, sonné par le choc qu'il avait reçu, le férosinge fonça de nouveau vers lui, bien décidé à le mettre KO. Puisque le combat était définitivement inévitable, le chat allait devoir opter pour une autre stratégie.

Il s'accroupie légèrement, les yeux fixés vers son adversaire qui s'approchait à grand pas. Lorsque le férosinge arriva à son niveau, le chacripan sauta, et décida de griffer le dos de son adversaire pendant qu'il était en l'air. C'était sans compter sur la tignasse de l'animal, qui était bien plus épaisse et emmêlée que prévue. Ainsi, au lieu de retomber au sol, le chat se fit trainer par le singe, les griffes solidement accrochées à son pelage blanc. Il n'était pas question de perdre l'équilibre: au contraire. Hannibal en profita pour user de son autre patte, et griffa le plus de fois possible son adversaire. Le singe, quant à lui, lorsqu'il s'aperçut qu'il avait la bestiole accrochée à son dos, commença tout un assortiment de cabriole et de torsion pour essayer de le déloger. Au fond, Hannibal aurait aimé se détacher, lui aussi. Il aurait aimé que ce combat n'ait pas lieu, il aurait aimé ne jamais manger ce bonbon de malheur. Mais au lieu de ça, le voilà baladé de gauche à droite et d'avant en arrière, comme une vulgaire poupée de chiffon, par un agresseur beaucoup trop violent à son goût. *

Ses coups de griffes désespérés ne servaient visiblement à rien, dans cette épaisse fourrure. Pourtant, le mâle continuait de griffer, et de mordre ce qu'il pensait être de la peau, en vain. Et soudain, une douleur, vive et électrisante, le fit miauler à la mort. Le singe tenait dans sa main, la queue violacée du chacripan. Il la tira avec fermeté et une lenteur perverse devant son groin de cochon, puis devant ses yeux, forçant le chat à se décoller un peu de son corps, même si ses griffes étaient toujours emmêlée dans son pelage blanc. Écartelé, Hannibal grimaçait de douleur et de peur. Le regard rougeâtre de son adversaire le terrifiait, et il sentait qu'il commençait à perdre le combat. Une idée lui vint en tête malgré tout, mais une idée qui ne lui plaisait pas du tout. Il miaula une dernière fois, espérant que cela suffirait à son adversaire pour renoncer. Mais lorsqu'Hannibal vit que le férosinge préparait une attaque, il savait qu'il n'avait plus choix: il allait devoir user de cette idée, qu'il n'appréciait pas.
En un dernier effort, le mâle sorti ses griffes, et les enfonça le plus profondément possible dans le visage de son adversaire, en une diagonale presque impeccable. Certes, la fourrure du singe le protégeait, en revanche, son œil droit et son groin, prirent la griffure si violemment, que le férosinge lâcha toute emprise sur le chat. Comme si cela avait été écrit, c'était à ce moment précis que son autre patte fut libérée du pelage blanc de son adversaire, et Hannibal tomba brusquement au sol. Il vit le férosinge couiner avec douleur, les mains contre son visage ensanglanté. Cette vision d'horreur fit battre le cœur du chat encore plus vite. Voilà pourquoi il ne voulait pas en arriver là. Frapper au visage était déloyal, et à cause de lui, son adversaire allait peut être perdre son œil.

Quoi ? Était-ce encore de la pitié ? Il n'y croyait pas. Cette sensation était tellement étrange. Il était obligé de se défendre, il le devait, pour sauvegarder sa vie. Et pourtant, il était encore entrain de regarder le férosinge entrain de crier de douleur, avec cette désagréable sensation de culpabilité. Avait-il de la famille ? Une compagne féminine et trois petits bébés, qui attendaient leur papa ? Qu'allaient-ils dire en le voyant rentrer dans leur "maison", avec cette énorme balafre au visage ? Après tout, le férosinge était peut être énervé car ce foutu bonbon était la seule nourriture qu'il avait trouvé pour nourrir sa famille ? Le mâle leva les yeux au ciel. Qu'il était stupide. Le voilà entrain d'imaginer la vie de son agresseur. Il savait pertinemment qu'il y avait pensé à cause de cet effet secondaire, mais est-ce qu'il existait des gens qui avait cette façon de voir les choses, au quotidien ? Quel enfer.

Le férosinge se tourna vers lui, encore plus enragé, et fonça de nouveau. Cette fois ci, Hannibal ne chercha pas le conflit: prenant les pattes à son coup, il usa de l'une de ses capacités de chat pour courir encore plus vite, et ce, vers un but bien précis: la ville. Ah, cet endroit qu'il méprisait tant par la présence abondante des humains, allait être finalement son lieu de survie.

Il fallait se rendre à l'évidence: il n'était plus si sauvage que ça.

Résumé:
Revenir en haut Aller en bas
Le Passeur
Le Passeur
PNJ
Or : 2794
Origine : Hastérion
Métier : Marchand, Guide touristique, Professeur
Equipe : Chronique d'un chat #2 Miniature_0225_XY
Sam 22 Déc - 23:01
Le Passeur

  

Bravo !


Fin du combat
Autant ce combat était mal partie, autant il ne finit pas trop mal non ? Enfin si, dans un sens, mais bon, personne n'est mort, alors pourquoi se plaindre hein ? Même s'il a pris des sales coups, le chat est encore en vie, et le férosinge à protégé son territoire ! Enfin, Hannibal a quand même sacrément changer non ? C'est fou ce que ces bonbons peuvent faire... En tout cas, j'ai trouvé ça drôle, et le félin saura apprendre de ses erreurs je suis sûr, et se rendre plus fort à l'avenir !

Tu as utilisé l'objet : Aucun

Ton post combat fait 12 331 lettres et le Férosigne adverse... A fait fuir Hannibal !. Ainsi Hannibal gagne 8 niveaux.

Tu peux aller Ici pour signaler le gain de niveau. N'oublie pas de mettre à jour ton Répertoire !
Revenir en haut Aller en bas
Dolorès L. Muñoz
Dolorès L. Muñoz
Admin
Or : 525
Métier : Gitane ( Voyante )
Sexualité : Libertine
Equipe : Chronique d'un chat #2 Bourri10Chronique d'un chat #2 Leopar10
Dim 23 Déc - 16:51
Dolorès L. Muñoz
La course du petit chat fut plus longue de prévue. Il essaya tout d'abord de rejoindre une ville, un village, ou une place, animée par des habitants. Il espérait ainsi pouvoir brouiller les pistes, si le férosinge était toujours à sa poursuite. Il se balada un peu partout, et se frotta aux arbres et aux murs, afin d'y laisser son odeur. Avec un peu de chance, son adversaire pourrait penser qu'il séjournait ici, et ainsi, le laisserait tranquille...

Au bout de plusieurs longues minutes, le chat finit par se faufiler dans une ruelle bien plus large, et animée. Il y avait des lumières partout, et des gens qui frétillaient a cause de l'alcool, ou simplement de joie. Un son lui titilla les oreilles: c'était celui d'un tambourin. Soudain, son cœur se mit à battre un peu plus rapidement, et instinctivement, le mâle accéléra le pas.

Son instinct ne s'était pas trompé. La foule était en cercle autour d'une danseuse, la gitane. Il aurait pu la reconnaître entre milles femmes, ne serait-ce qu'à l'odeur. Un mélange subtile d'huile essentielles, de cannelle, et de phéromones. Un tout autre parfum lui fit lever les yeux: le bourrin. Un peu plus sauvage et fermier, cette odeur là était néanmoins des plus réconfortantes. Hannibal se hissa sur le dos de Gringo, qui remarqua à peine sa présence. De là haut, le chat se sentait en sécurité. Il s'allongea en boule sur le croupion de son ami, rassuré par la tonne de muscle qui était en dessous de lui. Si le férosinge repointait le bout de son vilain nez, il n'aurait aucune chance face à Gringo...

Revenir en haut Aller en bas
Zozo le Cadoizo
Zozo le Cadoizo
PNJ
Or : 1045
Origine : Hastérion
Dim 23 Déc - 16:51
Zozo le Cadoizo
Le membre 'Dolorès L. Muñoz' a effectué l'action suivante : Fin RP


'Dé Récompense ' :
Chronique d'un chat #2 Os_rar12
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Hastérion :: Retour au Présent :: Archives :: Rp terminés-
Sauter vers: