you'll always be my favorite ghost (solo)

Apophis flotte près de toi
mais ce n'est pas lui qui te hante

Voilà un moment qu'il ne t'avait pas traversé l'esprit. Avec les évènements récents, les rêves t'avaient déserté. Tu pensais aux morts que tu as vus dans les rues. Puis à la bête du port d'Aros. Aux méprisables voleurs d'oeufs. A Nicholas. (à tout sauf lui) Mais hier soir, il est revenu. Ses mèches carmin glissant entre tes doigts, ses yeux d'or embellis par le soleil.

tu as presque entendu sa voix
(et le choc t'en a volé la tienne)

tu avais son nom au bord des lèvres
(et des larmes au bord des yeux)

Alors, dans un silence pesant, tu t'es glissé hors du lit avant même la tombée de la nuit. Morphée ne te semblait plus digne de confiance. (pas avec de tels songes) Nicholas a remué sous les draps mais ne t'a pas arrêté. (peut-être n'a-t-il rien remarqué) Tu t'es habillé dans les ténèbres. Au ralenti. Les yeux brûlants.

maintenant tu arpentes la plage
comme une âme en peine

(tu revois ses tâches de rousseur)
(son rire semble te narguer)

« Qu'est-ce qui va pas chez toi ? » grommelles-tu à ta propre intention

C'est pourtant toi qui l'as quitté, Céleste. Voilà longtemps que tu devrais t'en être remis. Pourtant, occasionnellement, ton subconscient le ramène. Pour te faire un peu mal, te rappeler qu'il et manque. Ta gorge est serrée. Tu te demandes si le sel dans ta gorge est celui des larmes est celui ides embruns.

Apophis semble inquiet. Les émotions négatives flottent autour de toi comme des nuages d'orage. Il t'a suivi en remarquant leur force. Des orages jouent dans tes yeux, dans ta tête. Lorsque tu t'immobilises pour regarder le soleil se coucher sur l'horizon, il vient se poster au dessus de ton épaule. Tu souffres, il le sent. Le temps ne semble pas avoir beaucoup adouci tes regrets.

« Laisse. » murmures-tu pourtant

S'il les efface comme il le fait si bien, tu ne t'en sortiras jamais. Tu ne sauras jamais comment t'en occuper seul. (comment les ignorer seul, surtout) Alors une fois de temps en temps, tu les laisses te submerger.

tu prends une grande inspiration
et commences à chanter

@solo l'avatar est un piège, Cel a bien les cheveux blancs & les yeux bleus

Cel parle en #9399b1

tu ne les remarques pas, au départ
sur le sable humide, leurs pas sont feutrés

Surtout que tu es concentré. Voilà longtemps que tu n'as pas mérité ton nom, Songbird. Tu n'en as pas pris le temps, tu n'avais pas la tête à chanter. Mais peut-être que tu aurais dû: à peine le premier couplet s'envole-t-il que tu te sens mieux. Plus léger. Ta gorge est de moins en moins serrée. C'est un soulagement de constater que tu chantes toujours juste. Que même sans instruments pour t'accompagner, ton rythme est correct.

ça dissipe ton chagrin
(du moins, en partie)

mais pas son image
(tu t'y attendais)

Lorsque la chanson prend fin, il te semble entendre des cris de monstres, par dessus le roulement des vagues. Tu sursautes, pris au dépourvu. Ce ne sont pas ceux d'Apophis: près de ton épaule gauche, le spectre monte une garde silencieuse. Tes yeux clairs parcourent le sable jusqu'à tomber sur des Pokémon. Les trois Têtartes attirent ton attention les premiers, avant que tu ne remarques les deux étoiles roses.

ces dernières semblent ravies
leurs petites pattes applaudissent

(tu rougis presque)
(c'était inattendu)

« Hm.. merci ? » hésites-tu avec un demi-sourire

Tu leur adresses une révérence un peu maladroite. Fort heureusement, il semble que ces Pokémon soient bon public. Ca te fait chaud au coeur.

Mais votre moment de tranquillité est vite interrompu. Il y a des bêtes moins amicales, sur la plage. Des bêtes qui voient dans votre attroupement l'occasion de se faire un repas facile.

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Cel parle en #9399b1

A peine te retournes-tu vers le trio de Pokémon eau pour tirer une seconde révérence que le chaos éclate. Une silhouette fuselée émerge des vagues, fauchant l'un des monstres en un éclair. Il n'a même pas le temps de crier. D'un seul mouvement, Apophis et toi reculez. Qu'est-ce que c'était ? Rien de bon, à en juger par les cris d'effroi des Mélo dans ton dos. Tu plisses les yeux lorsque le monstre s'écrase un peu plus loin, soulevant des gerbes d'eau.

les deux étoiles s'enfuient
les Têtarte restants, non

Ce n'est que lorsque l'écume retombe que tu comprends la scène. Un Sharpedo vient de s'attaquer à l'une des trois grenouilles, la piégeant dans ses larges mâchoires. La bête se débat encore, tambourinant du poing sur la peau rugueuse de son adversaire. (on dirait qu'elle se fait mal) Echangeant un regard avec Apophis, tu prends vite ta décision: hors de question de le laisser là. (c'est ta faute, penses-tu, s'il était distrait)

ton spectre s'élève
les flammes avec lui

Contre un poisson, ça peut sembler absurde. Mais à tes yeux, tout ce qui peut affaiblir un tel adversaire est bon à prendre. Apophis projette son feu-follet sur le requin, prenant bien soin de ne pas atteindre le Têtarte qu'il tient prisonnier. (ce serait le comble) Tu entends l'eau siffler au contact des flammes. Puis un cri de douleur. Les yeux rouges du monstre se fixent sur ton Polichombr, brûlants de rage.

tu y vois des promesses de violence
il ne rate aucune de ses ondes négatives

(ça s'annonce mal pour vous)
(mais vous êtes déterminés)

Si le requin semble préparer une autre charge trop rapide pour être esquivée dans votre direction, les deux Têtarte intacts l'en empêchent. De concert, ils projettent des bulles d'eau vers son museau pointu. Elles éclatent dans des "pop" sonores, faisant trembler la bête. Ca semble être une bonne idée. Jusqu'à ce que le Sharpedo serre les mâchoires sous la douleur. Le coassement plaintif de la 3e grenouille fait réagir Apophis.

ses griffes surgissent
lacèrent le requin

(il souffre aussi)
(mais tant pis)

« Pas mal.. » approuves-tu, reconnaissant la technique

Les sortes de mains aux doigts démesurés de ton Polichombr s'accrochent à la mâchoire inférieure du Sharpedo. Elles manquent de puissance, mais avec la douleur occasionnée, elles font l'affaire. La gueule du monstre s'ouvre sur un cri de rage. Tu esquisses un sourire. Avec la pression relâchée, le Têtarte peut à nouveau se débattre. Il ne s'en prive pas, attaquant sans merci la mâchoire de son agresseur de ses poings serrés.

(il te semble le voir saigner)
(sans doute la peau du requin)

hélas ses efforts ne suffisent pas
l'ennemi refuse d'entièrement lâcher

Alertés par l'évènement d'il y a un instant, deux autres grenouilles hésitent à attaquer. Ne risquent-ils pas d'empirer la situation ? En serrant les dents, ce Sharpedo pourrait aisément briser les os de leur ami. S'il flotte toujours près de la bête, Apophis tourne vers to ides yeux désespérés. Ils ont raison. La situation semble bloquée.

tu jures à demi-voix
il doit y avoir une solution

(ou pas, Céleste)
(tout ne se résout pas)

Sans doute dans un élan de désespoir, tu décides de tenter quelque-chose. Tu jettes tes chaussures sur le sable. Puis cours dans l'eau. Les yeux tricolores d'Apophis te fixent avec effroi. Qu'as tu d'excessivement dangereux derrière la tête, cette fois ? Comptes-tu mourir jeune ? Tu étais en sécurité, sur la plage !

« Envoie-moi sur son dos. » demandes-tu au spectre

Il te regarde comme si tu étais fou. (il a sans doute raison) Mais en voyant le ciel clair de tes yeux briller de détermination, Apophis comprend qu'il ne peut refuser. Tu es sûr de toi. Que ça soit une bonne ou une mauvaise chose, tu es convaincu de ton idée. Alors il flotte à ta rencontre, étendant ses griffes noires pour qu'elles te servent de tremplin.

Le mouvement n'échappe pas au poisson. Ses yeux de sang se fixent dans les tiens, éclairés d'un intérêt nouveau. Est-ce du sang, qu'il sent sur toi ? Voilà qui est trop alléchant pour ne pas s'y intéresser. Surtout que tu ne parais pas assez fort pour lui poser problème.

tu es une proie facile, pour lui
il peut te briser en un instant

(tu n'en doutes pas un instant)
(mais il n'en aura pas l'occasion)

Alors que la bête a un mouvement d'intérêt dans ta direction, tu donnes le signal à ton Pokémon. Vous prenez vos impulsions en même temps. D'un bond, tu es dans les airs. L'adrénaline court dans tes veines, comme à chaque fois que tu flirtes avec le danger. (ou avec la mort) Les yeux du requin ne t'ont pas quitté, mais Apophis est prévenant.

il le brûle à nouveau
détourne son attention

(mais dans un instant, elle te reviendra)
(il ne pensera sans doute plus qu'à toi)

La chute ne tarde pas à prendre fin. Fort heureusement, tu atterris à l'endroit prévu: sur le dos humide du tyran des mers. Mais malgré la rugosité de sa peau, tu te sens déraper. (tes pieds nus offrent peu d'accroche) Un éclair de terreur passe dans ton regard: dans l'eau, tu seras à sa merci. Perdre l'équilibre n'est clairement pas une option.

ton esprit prend vite le relais
tu as un atout à jouer

Avant de trop perdre l'équilibre, tu tires ton poignard, n'hésitant pas un instant à le planter dans la peau de la bête sombre pour te rattraper. L'enfoncer est plus facile que prévu. Son hurlement te laisse de glace tandis que tu luttes pour ne pas rejoindre l'eau de mer. C'est un rodéo des plus intenses qui s'engage alors, le Sharpedo se débattant pour déloger la douloureuse petite teigne que tu es. Comme il serait ravi de faire de toi son quatre heures. Briser tes os entre ses mâchoires s'annonce comme un délice.

il en oublie le Têtarte
le monstre se libère

(tu ne t'en rends pas compte)
(tu as tes propres problèmes)

Tes mains gantées glissent, sur le manche du poignard. Avec la violence des mouvements du requin, tu es à vrai dire surpris que la lame ne se soit pas encore cassée. L'eau de mer soulevée par son agitation te pique les yeux, des cheveux se collent à ton visage, t'empêchant de voir clairement ce que tu fais. Pourtant, dans un effort désespéré, tu étends un bras vers son aileron déchiqueté.

une secousse te projette dessus
tu saisis l'occasion

Enroulant tes bras autour de l'aileron, tu cales tes pieds sur les nageoires latérales de la créature. Ainsi accroché, te faire lâcher s'annonce déjà plus compliqué. Mais à peine es-tu calé qu'Apophis vient vers toi, flottant au dessus du monstre. Ta diversion a fonctionné, t'apprend-t-il en pointant une griffe sur le Têtarte blessé. Le monstre a clopiné vers le sable, le plus loin possible de son agresseur. Derrière lui, une traînée d'écarlate. (mais au moins, il est entier)

bonne nouvelle
...

tu ignores comment descendre

on te reconnaît bien là, Céleste
tu avais pensé à tout, comme toujours

Ton désarroi n'échappe à Apophis. Le spectre prend le temps de lever les yeux au ciel tandis queuté te cramponnes comme si car ta vie en dépendait à l'aileron de la bête féroce. S'il choisit de plonger, c'en est fini de toi. S'il retourne vers la haute mer aussi. Et tu n'as strictement aucune idée de comment te tirer de là. Les options qui défilent dans ton esprit n'ont rien d'intelligent, et quand bien même tu as l'habitude, tu as bien conscience qu'elles ne sont pas viables non plus.

puis tes craintes prennent vie
plus vite que tu ne l'aurais cru

le requin tente de s'éloigner de la rive
ta vie défile devant tes yeux

heureusement, Apophis s'interpose

Les yeux du spectre s'illuminent d'un terrifiant écarlate tandis qu'un nuage violet fond sur son adversaire. La créature ne semble pas impressionnée. Jusqu'à être touchée, du moins. Les sifflements que tu entends n'ont rien d'engageant. Il semble que le coup aie ravivé ses brûlures, le faisant cruellement souffrir. Ton Pokémon le regarde s'agiter sans ciller. (étant exposé à de violentes secousses, tu es bien moins impassible)

la bête gronde
réclame vengeance

L'eau que tu entends bouillonner au niveau de sa gueule n'est pas rassurante. S'apprête-t-il à se projeter en avant ? Peut-être est-ce l'occasion de quitter son dos. Tu ignores à quel point l'eau dans laquelle vous vous tenez est profonde, mais il n'y a qu'un moyen de le savoir.. Pourvu que ça ne te mène pas à ta perte.

Tu te penches en arrière, retirant le poignard. Le monstre ne semble pas s'en rendre compte, fixant un regard haineux sur ton Polichombr. Ce dernier semble le narguer, flottant dans l'air avec un air presque trop tranquille. Seul le léger plissement de ses yeux tricolores trahit sa concentration. Le Sharpedo est rapide. S'il bondit sans crier gare, ton spectre n'est pas certain de pouvoir l'esquiver.

il n'est pas serein
mais il fait semblant

Cependant, alors que tu t'apprêtes à te laisser glisser vers les vagues, quelque-chose te retient. Quelque-chose de fin. Tu baisses les yeux, alerté, regardant la liane branche s'enrouler autour de toi. Elle passe sous tes bras, autour de tes côtes. D'où vient-elle ? Ton coeur s'affole lorsque tu ne parviens pas à te retourner pour en trouver l'oigne. Poignard fermement tenu, tu t'apprêtes à te libérer en utilisant la manière forte.

avant de comprendre
elle t'éloigne du requin

D'un coup sec, la mystérieuse liane te déloge du dos du prédateur. Tu te sens chuter quelques instants, avant qu'un piaillement d'effort ne se fasse entendre. La liane blanche se resserre alors, te balançant en arrière Ves le sable humide de la plage.

c'est sans grâce que tu te réceptionnes
sans grâce, mais en un seul morceau

« Apophis ! » appelles-tu alors que ton spectre assène un nouveau coup de griffes au requin

ses yeux se lèvent vers toi
tu l'as déconcentré

Ne perdant pas un instant, son adversaire bondit d'entre les vagues. Son corps rugueux percute violemment la poupée de chiffon qui chute vers les flots, déséquilibrée. Le requin retombe dans la mer. Ton Polichombr avec. Un éclair de panique te traverse. Hors de question ! Apophis ne finira pas comme ça !

Aussitôt debout, poignard à la main, tu cours vers l'eau sans réfléchir. Ce sont les bras puissants de l'un des Têtartes qui t'arrêtent. Tu grondes comme une bête sauvage. Un ouragan se prépare, dans tes yeux, dans ta gorge. Comment ose-t-il ? Après l'aide qu'Apophis lui a apporté ! Mais contre la force du monstre, il est futile de te débattre. Tes mouvements semblent à peine l'ébranler.

un hoquet remonte dans ta gorge
des larmes te piquent les yeux

tu ne peux pas le laisser dans l'eau
pas avec ce qui l'y attend

Mais alors que tu relèves la tête avec hargne, prêt à tenter de te libérer une fois de plus, ce sont des yeux verts qui te font face. Une créature fleurie te regarde en souriant. Elle dégage un parfum si doux que tu te détends un peu. Ce que tu vois à ses côtés achève de te rassurer.

Apophis

trempé
mais vivant

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le froid ne t'arrête pas
tu le serres dans tes bras

Dans un couinement surpris, la poupée de chiffons se retrouve pressée contre ton coeur. Il bat si fort qu'Apophis se demande si tu l'entends. Passés de courts instants de confusions, ton monstre se détend. Tu étais inquiet. C'est assez évident. Peut-être ainsi comprendras-tu ce que lui et tes deux autres Pokémon ressentent lorsque tu te jettes au devant du danger ?

quand tu agis avec une inquiétante impulsivité
quand tu sembles faire si peu cas de ta vie

(tu as du courage, Céleste)
(mais souvent, c'est trop)

Délicatement, presque comme si tu hésitais à le toucher, tu tapotes a tête du spectre. Lentement, les Têtartes comprennent qu'ils ne devraient pas s'éterniser. Ce moment ne les concerne pas. Ils reculent. Celui que tu as tiré des mâchoires du requin semble s'incliner à ton attention avant de suivre le reste du groupe. (il t'est reconnaissant, à n'en point douter)

seul persiste le monstre fleuri
il vous observe avec un sourire

« Merci, merci beaucoup. » murmures-tu, d'une voix un peu cassée

Il répond d'une sorte de piaillement ravi qui te tire un sourire. Tu relâches Apophis. Le spectre ne s'éloigne pas pour autant, venant se poster fidèlement au dessus de ton épaule. Il ne s'y pose cependant pas comme le faisait Cyclamen, conscient que son corps froid ne te sera pas agréable.

tes yeux se posent sur lui
puis sur la guirlande

Du dos de la main, tu essuies les larmes perlant encore aux coins de tes yeux clairs. Enthousiaste, le Pokémon inconnu vient se poser au sommet de ton crâne. Comme une couronne. Un parfum émane de ses fleurs, si doux qu'il te détend en un instant.

Tu t'assois dans le sable. La brume de tes yeux se dissipe progressivement. Durant votre affrontement, le soleil a fini par se noyer. Seul avec ton Polichombr et un monstre visiblement amical, tu te sens curieusement bien. Les nouvelles émotions ont chassé les précédentes, il semblerait.

ta peine s'est enfin envolée
grâce au chant, ou à l'adrénaline ?

(les deux)
(aucun doute)

Pour autant, impossible de t'éterniser. Tu ne veux pas non plus tomber malade à cause de l'eau qui a détrempé tes vêtements au cours du rodéo. Puis.. tu as un peu mal. La peau du requin ne t'a pas épargné. Les gants ont protégé tes mains, le pantalon tes jambes, mais tes avant-bras n'ont pas été épargné. Ils saignent un peu, comme s'ils avaient râpé sur une pierre rugueuse.

tu grimaces
quelle sale bête

« Je vais devoir filer. » soupires-tu

S'il pousse un petit cri qui te semble déçu, le monstre ne cherche pas à s'y opposer. Tu lui adresses un sourire doux, caresses sa tête du bout des doigts avant de te lever. Apophis te ramène ton manteau. Avec un dernier signe de main à l'attention de la bête fleurie, tu quittes la plage.

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