Bella Donna, fille unique d'une servante au service de l'ancien roi de Scémède. La répulsion des gens autour d'elle lors de son exil lui aura permis d'ouvrir les yeux sur le monde qui l'entoure et elle commencera sa vie de sorcière. Ayant désormais 67 ans, la demoiselle continue d'amadouer le monde aux travers des légendes qu'on raconte à son sujet tout en vendant ses potions.
Visage: Sous une épaisse tignasse rosâtre se cache des yeux sanglants, semblant observer tout ce qui l'entoure sans véritablement y prêter attention, assez absents.Ils surplombent des cernes aussez marquées, bien que son unique oeil visible ne le montre. Son âge avancé ne semble pas se remarquer sous ses traits doux. D'un point de vue extérieur, la demoiselle pourrait passer pour quelqu'un de malade et très fatiguée mais encore bien jeune.
Corpulence: Bien que ce ne soit pas une priorité pour la sorcière de connaitre sa taille et son poids, il est bien possible qu'elle mesure 1m63 pour 45 kg, la rendant assez fine et fragile.
Habitudes vestimentaires : Alors que la dame a toujours vu des femmes très colorées vestimentairement parlant les qualifiant d'Ortide ou de Rafflesia sur d'autres fronts, Bella préfèrera les teintes sombres et rester assez sobre.
Signes distinctifs: Des yeux rouges, cheveux roses. Partout où elle passe reste une odeurs de roses et d'hortensias.
Bella Donna
Mettre un X entre les [] [] Le choix entre 3 Pokémon comme dans les jeux. [] Un œuf de la Région pour être sûr que le Pokémon me plaira. [] Rien ! J'suis un bonhomme, moi ! [X] Le choix pour voir... sinon je prendrais un œuf | |
Men are always willing to believe two things about a woman: one, that she is weak, and two, that she finds him attractive.
Bella est une sorcière pragmatique, au cœur froid, émoussée et doté d'une étonnante modestie. Elle agit de manière sarcastique et arrogante lorsqu'il s'agit d'autres humains et accorde une grande importance au savoir en général. Elle est toujours à la recherche de la solution la plus efficace à ses problèmes.
Elle a une moue cruelle en général et il est fort probable que ceux qui ont connu ses légendes pensent qu'elle a probablement arraché les pattes des chenipans sans aucune hésitation étant une petite fille.
D'autre part, lorsqu'elle s'exile sur Nimus, elle se sent seule. Obligée de quitter tout ce qu'elle a connu pour se forger une nouvelle identité l'a marqué. Et bien qu’elle ne le dise pas, il est clair qu’elle apprécie le fait d’avoir des pairs dans sa vie bien qu'elle ne supporte pas la plupart, voir l'intégralité des gens.
Toute question sur la raison pour laquelle Bella est toujours aussi jeune sera, bien sûr, déviée par un sarcasme hautain. Elle aime raconter des histoires pour effrayer les gens, petits ou grands, espérant jouir d'une plus grande crainte à leur égard et s'amusant de leur réaction. Elle se fiche des autres ne cherchant nullement à leur être utile.
La sorcière traite les gens de manière égale, se fichant de leur provenance, tant qu'ils aient de quoi la payer. Vivre recluse lui a permis de mettre tout le monde sur le même piédestal, noble comme pauvre. Il n'y a que certains clients avec lesquels elle se permet d'être "vraie" comme le roi de Scémède, qui bien que faisant parti de la descendance de cette reine l'ayant expulsée de son royaume, aura droit à un léger traitement de faveur.
Bien qu'elle se présente comme un cerveau diabolique, elle est étonnamment réceptive aux compliments sur son intelligence et sa supériorité. Bella a grandi pour devenir assez égoïste, ayant grâce à son passé dans le palais appris les ficelles de la manipulation et n'étant pas dupe de ce que les hommes et femmes sont capables de produire pour se faire bien voir.
Lorsqu'il est question de business, la sorcière de Nimus est assez appliquée et à cheval sur ce qu'elle fait. Si on ne peut pas payer, on ne prend pas. Aucune personne ne déroge à la règle, étant capable de s'énerver assez rapidement si la tentative de marchandage en devient trop longue ou ne lui convient tout bonnement pas.
You look upon the world around you and you think you know it well. I have smelled it as a Absol, listened as a Persian, prowled shadows that you never dreamed existed.
Tu as toujours vécu avec ta mère mais tu n'as jamais vraiment cherché à connaitre l'identité de ton père. Tu ignores pourquoi il n'est pas resté avec nous ni même s'il est encore vivant. A vrai dire, tu n'as jamais cherché à connaïtre la vérité, ni même le rechercher lui puisque ta mère et les différentes personnes du château étaient devenus ta famille. Pour toi, il n'a jamais vraiment existé et n'existera jamais.
Pour toi, cette dame qui s'occupe du jardin et t'élève depuis ta naissance pour que tu deviennes une herboriste accomplie dans ses traditions sera la seule personne que tu pourrais appeler véritablement famille.
C'est ainsi que l'on te découvrit un don pour l'art de l'alchimie, chose pour lequel tu te débrouillais plutôt bien. Parallèlement, l'on t'initia à la connaissance des différentes plantes et autres flores pour parfaire ton apprentissage. tu avais grandi avec l'idée d'un jour succéder à ta mère et continuer ses recherches. C'est également à cause de votre capacité à créer onguent et autres potions que les autres servants venaient vous voir lors de blessures et petits maux.
La première fois que tu avais vu le roi rentrer dans la chambre que tu partageais avec ta mère tu n'avais pas su quoi dire, te contentant de te prosterner aussi dignement que possible. Et puis, ça s'était répété, de plus en plus souvent jusqu'à ce que cela devienne quotidien. Tu remarquais toujours cette douceur dans leur regard, mais tu ne comprenais pas en ce temps là. Tu avais toujours tout fait pour ne jamais être dans la même pièce lorsqu'il était là. Tu aimais ce roi compréhensible et gentil, comme un père. Il y avait pourtant une particularité propre à vous deux qui n'était autre que le résultat de votre travail dans le jardin : votre odeur. Vous aviez toutes deux cette odeur, mêlant rose et hortensia qui marquait votre passage. Un peu comme une marque de fabrique. Cette odeur caractéristique qui brisa vos vies.
Peu de temps après le mariage du roi et de la nouvelle reine, la nouvelle tomba. Tu ne pouvais plus rester, ni toi, ni ta mère. Tu ne sais pas quelle idée était venue à la reine pour oser vous accuser de sorcellerie là où le temps avait déjà fait son oeuvre. Mais peut-être qu'au final elle n'avait pas tord. Même si le roi avait toujours poser un regard doux sur ta mère, tu n'avais jamais imaginé que cela irait aussi loin.
Tu n'imaginais pas ouvrir la porte de ta chambre et découvrir le cadavre ensanglanté de ta mère sur le sol, un couteau à la main. Tu n'imaginais pas qu'elle abandonnerait sa vie aussi vite. Tu n'avais pas vu sa détresse à cette annonce et les jours suivant, avant le départ. Sans doute avait-elle compris ce qui allait advenir d'elle. Et de toi. Mais maintenant il n'allait être question que de toi et uniquement toi. Les chiens royaux ne te laissèrent pas te lamenter, vidant et regroupant les faibles affaires en ta possession avant de tout détruire, mettant la pièce sans dessus-dessous. Tu avais le souvenir de ta poupée dans une gueule, se faisant malmener, jusqu'à n'être qu'une charpie.
Et ils te laissèrent ainsi, dehors.
Les gens avaient appris à te craindre sans te connaitre et toi, tu avais appris à voler, bien que certaines fois tu finissais le ventre vide et le corps endolori par les coups après t'être fait attraper. Mais tu ne lachais rien. Tu ne voulais pas mourir misérablement après t'être fait jeter comme ça par cette cruche. Elle voyait en toi une sorcière, les autres te voyaient comme telle, alors ils n'allaient pas être déçu. Pour la première fois depuis un long moment, un sourire étira tes lèvres.
Tu avais volé ce dont il te fallait, tu avais mis du temps à te faire une cabane au fin fond de la région. Mais tu essayais de garder un contact avec le monde extérieur. Les gens se souvenaient de toi et de ton odeur, ils savaient que tu n'étais qu'un oiseau de mauvais augure. Partout où tu allais, un drame arrivait, mais le pire serait certainement le fait de le revendiquer, des pertes d'Ecremeuh, c'était toi, une disparition d'enfant, c'était toi. Et la plus grande preuve de ta sorcellerie était au final ton apparence, malgré les années qui avaient passées, tu n'avais pas pris une ride, gardant cette apparence de jeune femme alors que tu en avais une trentaine désormais. Certains pensaient que tu te baignais dans le sang de jeunes pour garder ta jeunesse alors que d'autres penser que tu volais l'essence des gens. Ce que tu pouvais en rire.
A la mort du roi, tu avais fait une apparition, te dissimulant sous un capuchon sombre, te mêlant dans la masse avant d'arriver face au cortège. Lorsque la reine passa, tu redressas la tête, la laissant te reconnaitre et soufflant une poudre en sa direction, avant de t'éclipser, un sourire sadique au lèvres et une senteur familière derrière elle.
La nouvelle se répandit comme une nuée de poudre. La reine blasphémait des immondices à propos de la sorcière, étant sure d'avoir été empoisonnée. Mais si seulement elle savait que ce n'avait été que de la poussière de rose. Son chien mourut peut de temps après, frappé par un mal incurable, que tu revendiquas. Cette grande dame fut pris de démence, n'osant sortir de peur de te croiser.
Et puis un jour, tu fus convoquée et tu t'y présentas. Personnes n'oserais te faire du mal, pas après ce que tu avais fait. Dans sa chambre, tu sentais que c'était la fin pour elle, mais tu gardais ta mine neutre, bien qu'un léger rictus malsain ne guette. Tu t'approchas du lit, lentement, te présentant comme ce qu'elle ne faisait que voir en toi, une femme impitoyable, qui ne la lâcherait pas. Et puis elle te demanda pourquoi. Pourquoi cette acharnement. Ta main se glissa sur ton chapeau si caractéristique, le repositionnant correctement, en soupirant.
--Ce jour là, vous auriez mieux fait de me faire brûler vive, votre majesté. Tout ce que vous avez fait après n'a rendu votre santé que plus fragile et je n'ai eu qu'à attendre que le temps fasse son effet. Et il est maintenant presque abouti.
Tu avais sorti un petit sablier, le posant sur sa table de chevet en le renversant, fixant le sable couler. Elle te cria de faire quelque chose pour son cas, chose que tu refusas sans avoir à réfléchir. Tu émis un petit rire qui lui glaça le sang alors que tu prenais le chemin de sa porte, t'arrêtant finalement devant, la main sur la poignée.
-Sachez le, lorsque vous faites du mal à une bonne personne, il faut s'attendre à traiter avec la sal... Je m'égare, la sorcière que vous avez créé. Sur ce, il n'est de bonne compagnie qui ne se quitte, J'espère que nos chemins resteront séparés désormais.
Sans doute remarquerait-elle cette étrange mixture à côté du sablier, qu'elle avalerait sans se douter de ses effets. Tu savais sa fin était proche. Tu avais voulu, dans une dernière volonté, lui montrer ton pardon en la faisant dormir suffisamment pour qu'elle ne souffre plus jusqu'à son vrai départ. Une fois de plus, la faute lui fut rejetée dessus après son départ. La sorcière de Nimus avait encore frappé.
Mais ton propre cauchemar avait pris fin. Enfin.
Plusieurs années passèrent où tes agissement s'estompèrent quelque peu, sans pour autant s'arrêter définitivement. La nouvelle génération prit les devant, sans même chercher ton aide. Chaque année, le même jour tu revenais à Scémède, décorant la tombe de ta mère, du moins ce qu'il en restait et déposant tes deux fleurs fétiches parmi les innombrables du tombeau royal. Ce n'est qu'à la troisième génération que le roi fit de nouveau appel à toi, discrètement, te demandant nombre de tes philtres mais aussi, te demandant de revenir. Et tu refusais, t'accordant un voyage hebdomadaire pour lui rappeler ton rejet, ne souhaitant pas rentrer dans cette cours de mensonges et de paraitre. o/
(inventaire 3 objets max)
• • Et toi dans tout ça ?
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