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belle de jour, malherbe du soir × liz

Anonymous
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Dim 11 Nov - 12:07
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Liseron Genepì-Vespetrò est la cadette de sa fratrie où elle est affectueusement appelée Liz, Lizou ou encore Lizette, c’est une jeune femme de dix-huit ans qui, à peine fiancée, s’est envolée pour le Palais du Monarque où elle exerce le métier de jardinière et ce, en attendant que son futur mari se sente mieux pour reprendre ce poste. Elle est née à Scémède et y mourra sûrement.

Visage: Liseron c’est un visage ovale, presque rond montrant que la tambouille de la campagne nourrit bien, presque ‘sublimé ’par un teint terreux qui attire les coups de soleil. Ces derniers raccordent aux deux  grosses orbes d’un rose tirant sur le rouge qui lui servent d’yeux et dont l’unique maquillage est le violet de ses cernes lorsque les nuits sont trop courtes. Ses traits sont témoins de sa jeunesse bien qu’elle adopte très vite des expressions maternelles et que la douceur laisse place à une sévérité qui modèle son visage du tout au tout. Ses cheveux sont une entité à part entière, une épaisse crinière rose qu’elle ne lâche très peu quand elle travaille, si elle oublie ça se verra aux branches et feuilles coincées dedans.
Corpulence: Haute d’un mètre soixante-treize, Liz est considérée comme grande mais pas tant que ça, juste assez pour atteindre les étagères correctement dira-t-on. Elle est bien portante et sa silhouette est singulière : n’est travaillée que par son travail ses bras, ses épaules et ses mollets. Pour ce qui est des cuisses, de la bedaine et des joues, ce sont des parties où la gourmandise a clamé son territoire depuis bien longtemps. Elle n’y prête pas attention. On lui rappelle souvent de soigner son apparence, de faire des efforts pour ressembler à une poupée. Et s’il est vrai que tenues dans d’autres mains, les siennes semblent toujours plus petites, ces dernières ne sont pas douces car Liseron n’aime pas travailler avec des gants et de toute façon, elle les oublie sans cesse ce qui fait que ses mains sont souvent sales et écorchées avec quelques cloques de temps à autres pour changer. Aussi la miss ne porte jamais son alliance au doigt, elle dit qu’elle a peur de la perdre dans la terre, c’est faux.
Habitudes vestimentaires : Trop bien souvent à son goût, Liseron est affabulée d’une robe des plus modestes, ample et au tissus léger pour supporter les grandes chaleurs. Pour travailler, la demoiselle se doit d’être un peu plus apprêtée, pour ne pas choquer ces pauvres hommes qui ne comprennent pas la chance qu’ils ont d’être en pantalon. Ainsi elle portera plutôt une jupe de la même provenance que sa robe, un chemisier blanc sans prétention recouvert d’un corset qui, lui, sera caché sous un grand tablier où sont cousues de grandes poches pour ses outils.

Famille : Parce qu'il faut expliquer la chose tant ils sont nombreux. Tout d'abord, Liseron porte les nom de ses deux parents mixés pour être plus rapide à dire mais le foyer garde les deux bien séparés pour indiquer quelles terres sont celles qu'ils travaillent. C'était aussi une condition du père de sa mère quand il a marié cette dernière sûrement pour conserver son héritage à défaut d'avoir eu un fils.
Ensuite, ses parents ont, eux, eu huit enfants : Sylvestre (19), Liseron (18), Capucine et Faustine (16), George (14), Rosalia (11), Lucette (8) et Livio (5).

Liseron Genepì-Vespetrò


[X] Le choix entre 3 Pokémon comme dans les jeux.
[] Un œuf de la Région pour être sûr que le Pokémon me plaira.
[] Rien ! J'suis un bonhomme, moi !
[] Le choix pour voir... sinon je prendrais un œuf
mon corps est un jardin, ma volonté est son jardinier
Liseron, en jardinerie belle-de-jour, boyaux du diable.

Voilà qu’entre dans la maison la jeune Liseron au bras de son fiancé. Une étincelle l’anime quand elle dit bonjour, une qui disparaît aussitôt qu’elle baisse la tête. Les mots de sa Mère résonne en elle, soit discrète, modeste. N’éternise pas ta présence où l’on verra plus facilement tes absences.
Amis et familles félicitent le jeune couple et la demoiselle se contente de sourire, parfois elle ose un petit merci, rougit sous l’attention. Ils le savaient, qu’on la marierait aisément ! Elle est gentille leur Lizette, si polie ! Et puis elle sait élever des enfants, c’est elle qui partageait hier encore la chambre des plus jeunes pour aider leur Mère à s’en occuper. Brave, brave enfant. Et quelle jolie brin de femme ! Loin d’être la plus belle, elle est regardable et son nom vaut bien une silhouette forte ! Ses poignées d’amour ne sont-elles pas la preuve que sa famille a de quoi dresser une table digne de ce nom ?

Voilà que part la fiancée faire ses bagages, seule. Libérée des regards, elle peste, râle et maudit ces pauvres gens qui parle d’elle comme d’une bonne acquisition. Un bien, rien de plus, rien de moins. Peu savent que la jeune demoiselle bouillonne d’être traitée ainsi. Mais c’est le sort des femmes de leurs campagnes et malheureusement, Liseron aime sa campagne. Ses racines y sont profondément ancrées, trop pour qu’elle ne puisse se résoudre à quitter la terre qu’elle a toujours connu. Pourtant cette région n’est pas faite pour elle, son cœur bat pour la liberté d’Aros, sa musculature est faite pour travailler à Kii mais la voilà piégée à Scémède. Elle crierait à la révolution si le temps ne l’avait pas rendue docile. Il ne faut pas la croire douce cependant, ce serait une grande erreur. Accepter son sort, Liseron ne le fait que sur le papier.

Ce n’est pas une méchante, elle est bien loin d’être une poupée que l’on peut manipuler en toute impunité. Liz est bien décidée à être celle qui tire les ficelles comme Nana l’était chez elle. Elle n’est pas un joli cœur candide, elle est forte, elle a la rage de vivre ce qu’elle, elle veut vivre. Liseron n’a pas peur de mettre ses mains dans la terre ou dans un pokémon qu’il faut vider pour le souper, ce n’est pas une frêle demoiselle qui pâlit à la vue du sang ou qui s’effondre au moindre effort. Chaque jour c’est le soleil de Scémède qu’elle défie comme les autres quand elle lui fait l’affront de travailler malgré ses rayons. Le goût de l’effort, du travail fait et surtout, bien fait.

Ce n’est pas une mauvaise bougresse, elle ne sait pas tout du monde mais ce qu’elle sait, elle le chérit. Qui a besoin de savoir lire quand on sait comment faire de la gnôle qui pourrait tout faire oublier ? Quand on sait quelles fleurs s’entendent et quelles fleurs s’empoisonneraient si on venait à les forcer à cohabiter. Non, Liseron est satisfaite de ce qu’elle sait. Peut-être qu’un jour elle donnera la vie de façon plus conventionnelle, en attendant, ne l’a-t-elle pas déjà donné à maintes reprises quand elle venait à semer de nouvelles graines ?

Ce n’est pas elle, que son fiancé aime et au fond elle le déplore mais ça lui tuerait de l’avouer. Lui c’est comme un ami, il a bien fallu apprendre à le connaître pour répondre par mimétisme. Il ne sait pas grand-chose d’elle, elle sait tout de lui. De comment il préfère sa soupe à comment il bégaie quand elle rit, de sa couleur préféré à sa façon d’effleurer les feuilles de ses plantations pour les saluer. Ca la tuerait, d’avouer qu’elle aurait aimé l’aimer et que le soir quand elle est seule dans son lit, elle n’est pas prise de terribles crises de remords. Ce n’est pas à cet homme qu’elle en veut, ce pauvre pion qui ne sait pas pourquoi parfois elle lui dit merci.

Ce n’est toujours pas elle, la gentille jardinière qui devra s'apprêter pour ne pas faire tâche dans le décor. Elle s’est connue moins regardante, plus bruyante. Elle vient de la campagne, bon dieu ! Du garde-manger de Scémède, pas de la basse-cour du Palais où l’on préfère que ce qui pousse sente bon. Elle, elle travaille avec du fumier frais qui embaume des champs à la maison. Son rire ? Gras ! Pourquoi devrait-il être mélodieux, c’est un rire ! Et elle se veut libre mais en partant là-bas, ne s’est-elle pas trouvée une nouvelle prison ?

Vraiment, elle ne sait pas qui elle sera dans cet environnement, la lys des champs.

puisque la terre est ronde, comme une femme féconde
Tout a commencé par un cri d’enfant, le deuxième du foyer Genepì –Vespetrò.

Liseron est née au cœur du potager familial à Bourg-Flora, pas glorieux mais Père était aux champs et Mère et Nana n’avaient pas le temps ou l’énergie de rentrer pour faire dans la dentelle. Il n’y a pas eu de complications, il n’y en a jamais eu car elle sera cadette d’une tripotée de huit enfants, cinq filles et trois garçons. On dira de sa Mère qu’elle était faite pour porter la vie et on oubliera bien vite toute autre exploit que cette dernière avait accompli. On ne lui demandait que d’être une femme, une bonne épouse qui donnerait des enfants et qui, après l’allaitement, irait aider son mari dans les champs.

Ainsi Liseron grandit, bercée par les lois tacites de Scémède et de la campagne. Si tu peux marcher sans trébucher, c’est que tu es en âge d’aider le foyer. Il y a une hiérarchie au sein-même de la famille : les hommes trônent en haut et femmes et pokémons doivent prouver à la fin de la journée qu’ils méritent le gite et le couvert, tant bien même que ce soit eux qui fassent que la maison tienne debout et que les fruits de la récolte soient cuisinés. Dans l’ombre pourtant c’est la Mère de la sienne qui tire les ficelles. Nana est une femme forte, moins que dans sa jeunesse et c’est la raison pour laquelle elle vit avec eux. Elle s’en veut toujours d’avoir marié sa fille pour un bout de terre, elle n’aurait pas dû écouter Papé qu’elle grommelle à longueur de journée et ses seules consolations auront été d’avoir enterré ce dernier et d’avoir emménagé avec eux pour veiller sur sa fille adorée. Elle a pratiquement élevé tous les rejetons de celle-ci, mais il fallait être dans les premiers pour profiter de son savoir avant que l’âge ne lui fasse perdre la tête. Liseron a cette chance et la bouille de sa Mère, très vite Nana s’en éprend et lui apprend tout ce qu’elle sait. Les bases sont des bases, ils sont de Scémède et resteront de Scémède, sa petite-fille doit savoir s’exprimer clairement mais nul besoin qu’elle sache faire la conversation à un noble. Elle doit savoir compter aussi et surtout pour pouvoir aider dans les ventes et plus tard, tenir les comptes de sa propre maison. Mais Nana a d’autres choses à lui transmettre, des choses bien plus importantes que la poésie, la politique et les belles lettres, Nana lui apprend à cultiver la vie. Que ce soit fruits, légumes, herbes aromatiques, fleurs, Nana lui enseigne patiemment tout ce que la petite doit savoir. Et aidée de pokémons, Liseron travaille la terre, elle y enfonce ses petites mains et y plante des graines, éloigne les pokémons insectes de ses précieuses cultures.  Quand vient la récolte et la cueillette,  Liseron est couverte de recettes qu’elle se doit d’apprendre et de connaître par cœur. D’un plat des plus simples à la fermentation d’une liqueur, la demoiselle devient gardienne du savoir de sa Grand-Mère, savoir qu’elle transmettra à ses petites-sœurs mais aucune d’elles n’aura la même passion que Nana a su souffler en elle.

Malgré tout ça et jusqu’à ses treize ans, Liseron a tout de même le droit à un peu de liberté qui s’apparente à l’Enfance. Si le travail est terminé, l’on la laisse jouer alors la demoiselle se lève tôt, travaille et disparaît. Père pourrait lui demander des comptes, savoir où et avec qui elle va mais Nana la protège. Et puis bien souvent, elle est avec d’autres enfants de Bourg-Flora. Elle a l’air si gentille la Lizette, on lui fait confiance, c’est elle qui s’occupe de ses plus jeunes frères et sœurs et l’on dit tout haut sans aucune gêne qu’elle a sûrement hérité de sa Mère et que la fibre maternelle vit en elle. C’est sûrement vrai mais ça lui fait comprendre quelque chose à la Lizette, dans quelques années elle vivra le même sort que sa Mère. Ça avait toujours été dans un coin de sa tête qu’on l’y préparait et elle prenait enfin conscience que ça arriverait pour de vrai. Alors adolescente, Liseron est plus discrète, elle souhaite que l’on oublie son nom le temps qu’elle trouve un stratagème. Elle sort mais plus rarement, elle évite les garçons, préfère choyer ses plantes ou une très chère amie.

A l’aube de ses seize ans, ses sœurs Faustine et Capucine réussissent à l’emmener à la Falaise Côtière après une semaine à s’être cachée dans l’ombre du potager pour ruminer. Il y a une compétition entre les deux villages ce jour-là encore et Liseron est loin d’être intéressée. Elle s’assoit et se contente de garder un œil sur ses jeunes sœurs. La cadette n’est pas la seule à rester en retrait ceci dit, il y a un garçon qu’elle ne reconnaît pas mais il n’est pas impossible qu’il soit lui aussi de Bourg-Flora. Il est chétif et son torse nu est un spectacle de maigreur qu’il tente de cacher en se recroquevillant sur lui-même ce qui lui donne l’air encore fébrile. Il est tout palot le pauvre, l’on dirait presque un mort attendant que l’on l’enveloppe de son linceul.

Une idée germe dans son esprit.

Malsaine, elle lui porterait presque au cœur, alors pourquoi diable ôte-t-elle sa robe ? Pourquoi l’approcher ? Pourquoi exécuter cette pensée macabre ? Pourquoi est-elle plantée devant lui, tout sourire ?

« L’on peut sauter ensemble. »

Liseron déteste cet air bête avec lequel il la regarde comme s’il venait de lui pousser une troisième tête. La demoiselle ne se dérobe pas à sa proposition cependant, gentiment elle attend, lui tendant la main. C’est timidement qu’il la prend et ça pourrait être beau, ça a sûrement l’air beau pour les autres qui les regardent mais la main du garçon est moite et Liz est obligée de réprimer un frisson de dégoût. A la place elle le tire vers elle pour le mettre debout et ses pieds nus les entraînent vers la falaise.

Elle compte.

« Un, deux ! »

Le trois ne viendra pas, cet idiot tombe avant, l’entraînant. Ils évitent de justesse le plat et si le temps ne lui était pas compté, elle le laisserait dans l’eau se noyer. A la place Liseron rigole et elle le tient fort contre elle, elle l’aidera même à escalader les flancs de la falaise et à regagner la terre ferme. Elle restera à ses côtés jusqu’à ce que la nuit vienne à tomber et il reviendra vers elle pendant un jour, une semaine, un mois avant de lui demander de partager ses futures années quand il la verra parler à d’autres garçons, de peur de se faire devancer.

Gagné.

Elle feindra la surprise la Liseron quant au beau milieu d’une après-midi il a tenu à jardiner à ses côtés jusqu’à tard. Elle le voyait, suer à plus grosses gouttes que d’ordinaire, cacher en vain son appréhension. Le soir, il est venu souper avec eux et quand il a salué le maître de maison, tremblotant de peur, il s’est presque jeté au sol en voulant ne poser qu’un genou. Il a officiellement demandé sa main, enfin. Mère n’a rien dit, son regard est resté posé sur sa fille dont les yeux brillaient mais une mère sait, une mère devine pourquoi ces deux orbes brillent. Il n’y avait qu’un amour qui faisait battre le cœur de sa fille ce soir-là, celui de la liberté.

A dix-sept ans, Liseron est fiancée à ce garçon qui se tue à la tâche pour être digne de sa famille. Et s’il décroche un poste de jardinier au Palais, sa santé déjà peu stable ne cesse de décliner. Pour la demoiselle c’est une aubaine car si au départ elle pensait simplement l’épouser et attendre que la terre vienne le réclamer pour se morfondre de chagrin et porter l’habit de la veuve le reste de sa vie, son futur époux lui donne l’occasion de ne pas attendre la mort à ses côtés.

« Je serai bientôt ta femme, je ne peux pas rester là alors que je peux t’aider, s’il te plaît, n’aie pas peur de m’utiliser. »

Ça sonnait bien, il l’a cru, ils l’ont tous cru, et c’est ainsi qu’elle a pris sa place aux jardins et lui la sienne à la maison. Le jour de son départ, elle l’a embrassé et lui a souhaité de reprendre des forces comme ça, quand elle reviendrait, ils pourraient fonder leur foyer.

Cette promesse pourtant elle le sait, ne conclura pas son histoire.

Inventaire

Bulbe • Faucille • Lait

Et toi dans tout ça ?
Infos pratiques : Médor, iel, soon to be 21, ma consommation de lait fraise égale celle d’alcool
Comment avez-vous connu le forum ? Virgile m’a soudoyé avec des photos de chats
Depuis combien de temps faites-vous du rp ? Team dizaine d’années
Disponibilité : Pour le moment 5j/7
Avatar:  Popuri – Harvest Moon
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Anonymous
Invité
Invité
Dim 11 Nov - 13:01
Invité
Bienvenue parmi nous. Bon courage pour finir ta fiche, ton personnage a l'air vraiment mignon. Je la pensais beaucoup plus jeune quand j'ai vu l'avatar !
Et je vais de ce pas féliciter Virgile avec des cookies belle de jour, malherbe du soir × liz 1769095739
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Anonymous
Invité
Invité
Mer 14 Nov - 19:53
Invité
Tout plein de merci ! keur leur lov

Et effectivement, je voulais Liseron plus jeune mais je n'avais pas encore bien l'âge de tous, j'ai donc modifié tout ça et rajouté une partie sur sa famille à la place des signes distinctifs ! ( Comme ça, avoir sept frères et sœurs ce n'est pas distinctif ? )

Du coup, ma fiche est terminée !  eyebrow
( J’espère qu'elle sera toujours aussi mignonne après lecture, woopsie. wait what )
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Le Passeur
Le Passeur
PNJ
Or : 2794
Origine : Hastérion
Métier : Marchand, Guide touristique, Professeur
Equipe : belle de jour, malherbe du soir × liz Miniature_0225_XY
Sam 17 Nov - 17:12
Le Passeur

Choix du starter


La dernière (première) étape

/!\ géant vert Une jardinière se doit d'avoir un Pokémon plante. C'est comme cela. Aussi naturel qu'une femme doit avoir des enfants. Liseron n'apprécie guère ce.tte Tournegrin et elle serre les dents à chaque fois qu'elle doit emporter la petite créature avec elle. Liseron, si gentille Liseron...


/!\ bug toxic Les insectes sont nombreux dans les jardins royaux mais Liseron a décidé de garder ce.tte Aspicot espérant qu'iel deviendra un.e Dardagnan capable de protéger les plantes tant chéries. Pour le moment ce n'est qu'une larve mais la jeune femme use autant de patience qu'elle peut. Un peu comme sa mère lui a appris à jardiner.


/!\ sous l'océan Parfois Liseron et son mari retournent sur ce bout de corniche où ils sont sautés. L'endroit où ils n'étaient que des enfants et que leur vie était si simple... Ce jour-là, la jeune femme s'y est rendue seule et peut-être est-ce l'ivresse de l'instant ou une envie soudaine mais elle sauta. Cela ne ressembla pas à ce moment de joie mais le froid la saisit. Le courant était fort et elle crû se noyer quand cet.te étrange Pokémon est venu.e la sauver.


Faites votre choix en indiquant le sexe de votre Pokémon et si vous souhaitez tenter le dé shiney
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Anonymous
Invité
Invité
Sam 17 Nov - 21:18
Invité
Moi pendant 3h devant le choix : heavy breathing
Ce sera donc une demoiselle Aspicot et on tente le shiney juste pour voir si on peut tenter le loto après, merci ! keur leur lov
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Le Passeur
Le Passeur
PNJ
Or : 2794
Origine : Hastérion
Métier : Marchand, Guide touristique, Professeur
Equipe : belle de jour, malherbe du soir × liz Miniature_0225_XY
Dim 18 Nov - 21:36
Le Passeur

Félicitations, tu es validé


L'aventure peut commencer !

belle de jour, malherbe du soir × liz Sprite_013_XY
Tu reçois une Aspicot Femelle de niveau 9.
screen du lancer:

Message de Yuki : Alors... je ne sais pas ce que signifie ce smiley mais j'espère que ça veut dire que les choix t'ont plu. cry Liseron est une adorable jeune fille. On voit bien sa colère et l'image qu'elle renvoie à son entourage. J'aime beaucoup le contraste entre les deux et j'espère qu'elle s'épanouira au palais. Amuse toi bien parmi nous ! Au plaisir de te croiser dans un rp love  

Tu peux désormais aller :

• Recenser ton avatar ici
• Poster ton Créa-Répertoire ici
• Poster ton Journal de Bord ici
• Participer aux mini-events ici
• Profiter des migrations ici et ici
• Commencer à Rp parmi nous !
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