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Demain pour qui le soleil se lève ?

Dolorès L. Muñoz
Dolorès L. Muñoz
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Sexualité : Libertine
Equipe : Demain pour qui le soleil se lève ?  Bourri10Demain pour qui le soleil se lève ?  Leopar10
Dim 10 Mar - 18:35
Dolorès L. Muñoz
Demain pour qui le soleil se lève ?  Original

La nuit était tombée sur Aros. Si la ville était toujours allumée de milles lumières, et animée par mille cris, les quais du port étaient en revanche, beaucoup plus tranquilles. Les marins qui revenaient des mers s'étaient réfugiés dans les tavernes les plus proches, ou les bordels environnants. Les rares hommes qui restaient près des quais, surveillaient la marchandise, et laissaient leurs regards gourmands manger les putains qui traînaient à la sortie du port.

C'était une nuit normale à Aros. Le ciel était dégagé, et la froideur tétanisante. Le bruit de la ville non loin, venait briser le silence perturbant de cet endroit. Les montres et les humains se sentaient visiblement en sécurité. C'était parce qu'ils ne savaient pas qu'ils étaient traqués.

Dans les recoins d'ombres, derrières les caisses en bois ou les stands des pêcheurs, le fauve était de sortie. Lentement, un pas après l'autre, Hannibal se faisait discret. Il n'était plus un chaton. Depuis son évolution, son besoin de chasse avait considérablement augmenté, et ses instincts primaires avaient été décuplés. Le félin avait besoin de traquer, de rôder, d'ôter la vie. Et il fallait dire qu'Aros n'offrait pas vraiment beaucoup d'endroit pour chasser.

Le calme de cet endroit avait attiré le fauve, qui voulait se faire discret. Ses grands yeux émeraudes balayaient les quais avec rapidité. Contrairement à la plupart des humains et les autres monstres, Hannibal voyait parfaitement bien dans la pénombre. Son pelage sombre le rendait quasiment invisible. Il huma l'air un instant, cherchant l'odeur de l'animal qui pouvait le satisfaire.

Le fauve était de sortie, et il ne rentrerait pas sans avoir assouvi son besoin sanglant.
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Le Passeur
Le Passeur
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Equipe : Demain pour qui le soleil se lève ?  Miniature_0225_XY
Sam 16 Mar - 13:30
Le Passeur

 

Attention !


Un Pokémon sauvage apparaît...

Demain pour qui le soleil se lève ?  Sprite_183_XY
Demain pour qui le soleil se lève ?  Miniat_type_eau_7_s - Demain pour qui le soleil se lève ?  Miniat_type_fée_7_s
Un Marill Normal ♂

Dans le port d'Aros, les marins ne sont pas les seuls à se promener. Nullement perturbé par le manque de lumière, ce monstre de la cité blanche parcoure les quais comme à l'accoutumée. Il alterne entre nager dans l'eau glacée et marcher sur la terre ferme, cherchant un Pokémon poisson pour se rassasier. Ce qu'il ignore, c'est qu'il n'est pas le seul à être en chasse..
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Dolorès L. Muñoz
Dolorès L. Muñoz
Admin
Or : 525
Métier : Gitane ( Voyante )
Sexualité : Libertine
Equipe : Demain pour qui le soleil se lève ?  Bourri10Demain pour qui le soleil se lève ?  Leopar10
Dim 28 Avr - 20:28
Dolorès L. Muñoz
Hannibal humait l’air humide du port avec le plus grand des soins. Le clapotis léger de l’eau et le craquement du bois rendait l’atmosphère paisible. Mais le grand félin était sous pression : il ne voulait pas repartir avec l’estomac vide. Un bruit vint le stopper net, et son regard jaunâtre se posa vers l'eau. Il s'agissait d'un "plouf", à peine audible. Un bruit différent ce qu'il avait réussi à capter jusqu'à présent.

Il devait être patient. Sans quitter la surface de l'eau des yeux, Hannibal s’accroupit lentement. Quelques minutes passèrent ainsi. Les marins n'avaient toujours pas remarqué la présence du fauve à côté de leurs embarcations. Et soudain, une masse sorti de l'eau. Il s'agissait d'une boule bleutée, à la peau lisse et aux oreilles rondes. Elle semblait être à première vue une souris aquatique. Son corps était rond et bleu puis blanc sur le ventre. Sa queue en forme de zigzag se terminait par une boule remplie de graisse. Elle se balançait machinalement, de gauche à droite. Hannibal baissa les oreilles, et ses pupilles s'écarquillèrent, afin de capter le plus de lumière possible. La bête bleue semblait occupée à manger un poisson, qu'elle venait certainement de pêcher. Alors le félin pensa que c'était le bon moment pour s'approcher d'elle. Il marchait avec un pas de velours, et même si l'audition du marill était fine, il ne l'entendait pas. En réalité, ce fut le bois du ponton, qui le trahit. Sous le poids de l'animal, le bois craqua. Le petit être bleu tourna son regard vers le félin et, pris d'un sursaut de peur, utilisa une technique d'auto-défense: des dizaines de bulles étaient projetées vers le félin. Lui aussi surpris, Hannibal fit quelques pas en arrière. Mais les bulles du marill n'étaient pas anodines: lorsqu'elles éclataient, leur force transmettait une décharge dans le corps du félin. Il éternua plusieurs fois, déconcerté par ces sphères piquantes, et ne remarqua même pas que le marill fonçait droit sur lui.

Il fonça tête baissé vers ses pattes avant, et heurta l’une d’elle avec force. Le félin, celle fois ci, fit un bond, piqué par la douleur et par la surprise. Mais il n’était plus question de bulles maintenant : le combat était engagé, et un seul remporterait la bagarre. Le petit être bleu faisait face au félin, avec assurance. Malgré sa petite taille, il semblait prêt à affronter le prédateur en face de lui. Hannibal, quant à lui, lécha rapidement sa patte afin de vérifier que rien n’était cassé, avant de se remettre en position de combat. Il retroussa ses babines jaunâtres, dévoilant ainsi une lignée de dents acérées. Toutes griffes sorties, le mâle n’attendait qu’une seule chose : une erreur. Il suffisait que le marill ne fasse qu’un seul pas de travers pour assurer sa défaite.

Un nuage bougea, et les rayons lunaires éclairaient de nouveau le port. Le marill fit un cri aigu, certainement pour intimider le fauve. Mais il en aurait fallut plus pour faire peur à Hannibal. Lentement, le mâle avança une patte, puis une autre. Le marill recula au fur et à mesure de sa marche. Mais lorsqu’elle se retrouva coincée par une caisse en bois, la souris aquatique n’attendit pas plus longtemps avant de réagir : de nouveau, des centaines de petites bulles d’eau jaillirent de sa bouche, projetées vers le félin. Hannibal ferma les yeux, et fonça.

L’éclatement des bulles contre sa fourrure lui était désagréable, douloureux. Mais ce n’était qu’un mauvais moment à passer, selon lui. Les oreilles en arrière, il pressa le pas, et il tendis la patte dans l’espoir d’attraper ce qu’il espérait être, son futur repas. Malheureusement pour lui, ses longues griffes noires se stoppèrent dans le bois de la caisse, et Hannibal compris qu’il n’avait pas réussi à attraper cette foutue souris. Il rétracta ses membres, et chercha du regard la bestiole. Rien. Le calme du port semblait être de retour. Le mâle tendit l’oreille. Il entendait les dernières bulles du marill s’éclater sur le sol, le vieux bois du port craquer, le clapotis de l’eau. Et soudain, un « plouf ».

Hannibal pressa le pas vers cette sonorité, qu’il avait maintenant catalogué comme une piste évidente menant à sa proie. Caché derrière de gros sac en tissus, le mâle s’accroupit, et attendit de nouveau.

Il avait peu de chance de revoir la souris sur la berge. Après tout, elle savait qu’un prédateur la traquait, alors pourquoi remonter à la surface ? La queue du grand félin ondula lentement sur le bois du ponton, poussa parfois quelques brins de paille qui s’étaient envolées jusqu’à lui. La traque était un jeu perpétuel, une course contre la montre d’événements souvent imprévisibles. Après une demi heure à fixer l’eau avec intensité, le regard du fauve se mit à briller. A la surface, quelques bulles remontaient du fond de la baie. Le mâle se mit en position. Ses pupilles se dilatèrent, et lorsque la forme du marill se dessina sous l’eau, Hannibal ne put s’empêcher de fouetter l’air avec sa longue queue.

Visiblement, la souris aquatique avait besoin de remonter prendre sa respiration de temps en temps, à la surface. Le fauve vit dépasser ses deux oreilles rondes, puis son corps entier sorti de l’eau. Le marill prit soin d’observer autour de lui, avant de dévorer un autre poisson. Mais cette fois ci, Hannibal n’allait pas le laisser filer.

Il prit son élan, et en un bond majestueux, le fauve se jeta sur la pauvre souris. Ses griffes se plantèrent dans sa chair, et une griffure lacera son corps de haut en bas. La boule bleutée cria, surprise et en proie à la douleur. De nouveau, elle tenta une esquive, mais cette fois, il ne s’agissait pas de bulles, mais d’un véritable jet d’eau glacé. Le félin, noyé par tant d’eau d’un coup, était obligé de lâcher sa prise et de reculer. Sa patte avant vint frotter rapidement ses yeux, et avant qu’il ne put s’en rendre compte, un coup le frappa de plein fouet au niveau de ses flancs. Le marill avait chargé, tête en avant, espérant pouvoir convaincre le fauve de sa puissance. Mais ce n’était pas cette  frappe qui avait chamboulé le mâle, non. Mais plutôt sa conséquence. A cause de l’impact, Hannibal recula de quelques mètre encore, et cette fois ci, il tomba entièrement à l’eau.

Le changement brutale de température tendit ses muscles au possible, et remonter à la surface lui était presque difficile. Ses griffes se plantèrent dans le bois du ponton, et le félin s’aida de cette prise pour consolider ses appuis. C’était sans compter sur la souris aquatique, toujours présente sur la terre ferme. Hannibal ne pouvait rien faire. Pourtant, il vit l’animal se rapprocher de lui, prendre de l’élan, et frapper de plein fouet ses pattes avant avec l’énorme masse qui lui servait de queue. La douleur accentua les battements de son cœur. Se pouvait-il qu’il soit à la merci de cette misérable créature ? Cette idée l’écœurait. Et pourtant, c’était le cas.

Alors, le fauve prit une décision. Avant que la petite souris d’eau ne prenne à nouveau son élan pour le frapper, Hannibal gonfla ses poumons, et rugit. Son cri, brisa le silence tranquille du port, et vint résonner entre les mats des divers bateaux. Ce cri, était plus qu’un cri de détresse ou de douleur. C’était un hurlement de guerre.

Une perle de sang s’écoula de la blessure de la petite souris, qui recula avec lenteur, impressionnée par ce rugissement. Il n’en fallait pas plus pour permettre au fauve de sortir de l’eau. Des gouttes ruisselaient le long de son pelage violet, et venaient s’écraser frénétiquement sur le sol. Les oreilles couchées en arrières, le mâle continuait de grogner. Dans ses yeux, semblaient danser les flammes de l’enfer. Au loin, les marins s’inquiétaient. Ils se demandaient probablement d’où pouvait provenir le rugissement, et n’allaient pas tarder à le savoir. Déjà, le mâle pouvait sentir l’odeur des flammes brûler sur leurs torches, et leurs voix se rapprocher d’eux. C’était sa dernière chance.

Le marill se gonfla, et son corps déjà boudiné, devint encore plus rond, et brillant. Cette technique avait comme but de renforcer la rigidité de sa peau, pour être plus tenace face aux impacts. Mais la panthère s’en fichait. Hannibal continuait d’avancer, ruisselant d’eau, les babines retroussées. Le marill usa de cette technique plusieurs fois, avant que le fauve ne se jette sur lui de nouveau. Cette fois ci, ses longues griffes noires ne transpercèrent pas sa peau comme la première fois. De simples lignes rougeâtres parsemaient le corps de la petite souris, qui tentait de fuir du mieux qu’elle le pouvait. Lors d’un moment d’inattention de la panthère, la bestiole tenta le tout pour le tout : elle se mit en boule, et prit de l’élan. Elle roula ainsi, à l’aveugle, entre les caisses en bois, et les sacs de tissus. Elle était certes, plus rapide que d’ordinaire, mais plus vulnérable à cause de sa cécité temporaire. Le félin prit de l’élan lui aussi, et se lança à sa poursuite. Tout ce qu’il espérait, était que la souris aquatique ne finisse pas par rejoindre l’eau du port. Les marins se rapprochaient toujours plus de l’agitation, et les lueurs de leurs torches n’étaient plus très loin. Et le marill, poursuivit par la bête, allaient droit vers eux. Le félin, dut prendre une nouvelle décision : prendre le risque de se faire voir par les humains, ou perdre définitivement son repas.
Il n’eut que quelques secondes pour réfléchir. Et ce fut l’instinct primaire, qui emporta sur la raison.

Tout se déroula à une extrême vitesse. Le marill finit sa course contre une caisse en bois, en face des marins. Il fut sonné par le choc violent qu'il venait de subir, et la panthère se jeta sur la souris aquatique, sans prêter attention aux hommes qui étaient à côté. Les plus peureux d’entre eux, reculèrent précipitamment, ayant peur pour leur vie. D’autres, plus malins, se hâtèrent pour aller chercher leur propre monstre, et ainsi avoir l’espoir de combattre la panthère. Les rares qui étaient restés sur place, figés par la peur ou la surprise, virent un funeste spectacle qu’ils n’étaient pas prêt d’oublier.

Il s’agissait d’une bête violacée, presque noire à cause de son pelage trempé. Ses yeux reflétaient la lueur de leurs torches, leur offrant ainsi un regard enflammé. Sa longue queue frôlait à peine le sol, tandis que ses pattes, tremblaient à cause du froid. Dans sa gueule aux longues dents blanches et affûtées, pendait le corps sans vie d’un petit animal bleuté. Avant même que les marins puissent s’attaquer à lui grâce à leur propre monstres, la panthère avait disparue dans l’obscurité de la nuit. Ils suivirent un moment les traces, les gouttes d’eau et de sang, mais ne parvinrent pas à retrouver la bête. Après une longue discussion, les hommes du port avaient tous la même horrible question en tête : cette chose, cette créature, était-elle capable de dévorer un humain ? Et si la petite chose bleutée avait été l’un des leurs ? Ou pire: un enfant ?
La soirée calme qu’offrait le port d’Aros se transforma rapidement en une nuit d’effroi, qui marquait le commencement d’une traque sans merci.

Déroulé du combat:
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Le Passeur
Le Passeur
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Equipe : Demain pour qui le soleil se lève ?  Miniature_0225_XY
Mar 30 Avr - 0:12
Le Passeur

 

Bravo !


Fin du combat
Il semblerait que la chasse d'Hannibal aie été un succès. Si le Marill s'est bien défendu, aussi bien avec son expérience au combat que sa connaissance du terrain, ça n'a pas été suffisant. Il repart avec un repas, mais pas sans causer un violent émoi au sein de la population d'Aros..

Tu as utilisé l'objet : Aucun

Ta partie combat fait 8221 lettres et le Pokémon adverse est très mort.. Ainsi Hannibal gagne 6 niveaux + 2 bonus.

Tu peux aller Ici pour signaler le gain de niveau. N'oublie pas de mettre à jour ton Répertoire !
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Dolorès L. Muñoz
Dolorès L. Muñoz
Admin
Or : 525
Métier : Gitane ( Voyante )
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Equipe : Demain pour qui le soleil se lève ?  Bourri10Demain pour qui le soleil se lève ?  Leopar10
Mar 30 Avr - 16:00
Dolorès L. Muñoz
Lorsque Dolorès se réveilla le lendemain matin, elle ne fut pas surprise de voir la panthère couchée de tout son long à ses côtés. Hannibal avait beau être un prédateur, un énorme félin, il n'en restait pas moins un gros chat. La gitane prit le temps de déposer un tendre baiser sur son crâne violet, faisant fi de l'odeur désagréable de poisson qu'il portait sur lui.

La belle s'habilla, et grimpa sur son percheron pour rejoindre le centre de la cité. Comme d'habitude, Dolorès allait chercher des fruits et des légumes, mais aussi diverses épices exotiques que pouvaient ramener les marins de par delà les mers. Comme l'arrivage était assez aléatoire en fonction des trouvailles, la gitane ne manquait pas une seule occasion de pouvoir découvrir les nouveautés du jour.

Alors, lorsqu'elle vit un attroupement à côté d'un stand de pêcheur, la belle se fraya un chemin à travers les habitants d'Aros. Au bout de cette masse d'individus, se tenait un homme blond, assez grand et trapu. Il parlait avec une grosse voix, et ce qu'il disait au peuple autour de lui, glaça le sang de la gitane. Il parlait d'une bête féroce qui avait été aperçue dans le port la nuit dernière. Il disait que cette bête était noire ou bleu foncé, et qu'il avait le regard du diable. Cette chose était poilue, avait une grande queue et de grandes dents, et avait tué un monstre aquatique de sang froid. Il disait qu'il fallait réunir les meilleurs chasseurs pour tuer cette chose, avant qu'elle ne s'en prenne à l'un des leurs.

Dolorès fronça les sourcils. Elle ne comprit pas immédiatement qu'il s'agissait d'Hannibal. Ce qui la mit sur cette piste, c'était cette odeur de poisson, qui lui collait au pelage ce matin. La gitane prit une grande inspiration, et baissa les yeux.

Ils devaient quitter Aros.

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Zozo le Cadoizo
Zozo le Cadoizo
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Origine : Hastérion
Mar 30 Avr - 16:00
Zozo le Cadoizo
Le membre 'Dolorès L. Muñoz' a effectué l'action suivante : Fin RP


'Dé Récompense ' :
Demain pour qui le soleil se lève ?  Pypite13
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