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Momartik la milf qui fait froid | ft. Ryu

Charlie
Charlie
Or : 270
Origine : Galar
Métier : Saltimbanque
Sexualité : boys ♪ boys ♫ boys
Equipe : Momartik la milf qui fait froid | ft. Ryu Minigr10Momartik la milf qui fait froid | ft. Ryu Goupil10Momartik la milf qui fait froid | ft. Ryu Pijako10
Dim 16 Aoû - 23:12
Charlie
Comment j'avais pu me retrouver dans une telle situation ? La route vers Kii semblait simple : il suffisait de suivre la corniche, le long des montagnes, et le chemin me mènerait jusqu'au village. Un homme m'avait montré la route, me promettant que je ne m'y perdrais pas tant que je suivais le sentier. Il n'avait pas été très chaleureux -il paraît que les gens du coin n'aiment pas trop les étrangers, et je ne leur ressemble pas, n'ayant ni mèches noires, ni yeux en amande, bien que je partage le même teint de porcelaine. Cette froideur s'était faite ressentir mais je ne lui en voulais pas de ne pas m'avoir guidé, il m'avait au moins aidée un minimum. Avec l'attitude qu'il avait eu, je n'aurais de toute façon pas eu l'audace de lui demander le couvert pour la nuit.

Peut-être aurais-je dû le faire ? Ou même aller dormir clandestinement dans sa grange, Arsène serait allé se servir pour nous dans son garde-manger. Non, je pensais être capable d'arriver à bon port avant la tombée du jour.
A vrai dire, ça aurait sûrement été possible. Ce n'était pas la nuit qui m'avait surprise, mais une tempête de neige. A cette saison ? Etrange, même au sommet d'une chaîne de montagnes, oui. Les forces de la nature n'étais pas régies que par la météo, cependant, je suppose qu'un Pokémon de type Glace y était pour quelque chose. Il cherchait peut-être à marquer son territoire, ou se battait contre un de ses congénères... ça je n'en savais rien. Je ne savais pas grand chose à vrai dire, pas même où j'étais.

Le froid devenait insupportable. Une honte pour une Galarienne, censée être habituée au climat frisquet de sa région. Non, vraiment, ce blizzard n'avait rien à envier aux hivers de Ludester, où j'aurais au moins pu me procurer des meilleurs vêtements. Je me retrouvais à claquer des dents, tenant fort contre moi Joey et Alice, l'un contre mon torse, sous mon gilet et l'autre grelottante sous mon chapeau. Le renardeau était moins frileux, son poil le lui permettait. Ses coussinets l'empêchaient même de s'enfoncer dans la neige, là où je manquais de trébucher constamment. C'était dans des moments pareils que j'aurais aimé avoir une monture. Un Galopa m'aurait sortie bien vite de là, en particulier un d'ici, qui était de type Feu et qui aurait fait s'évaporer la poudreuse à chaque foulée.
Je ne pouvais pas non plus m'offrir le luxe de m'arrêter et d'attendre que le vent se calme, ça aurait été un coup à se faire ensevelir en seulement quelques minutes. J'aurais sûrement gelé sur place si je m'étais arrêtée ne serait-ce qu'un instant de marcher, même si la neige m'empêchait d'accélérer le pas pour me tenir chaud. C'était de plus en plus difficile d'avancer. Mes bas n'étaient pas faits pour la haute-montagne. La neige s'y infiltrait, laissant mes jambes mouillées, puis gelées, puis brûlées. Quant à mes pieds, je ne les sentais même plus. J'espérais vraiment que marcher droit, têtue comme un Tiboudet, me sortirait de cet enfer de glace.

J'avais eu tort : la fatigue me rattrapa avant que je ne retrouve ma route. Ma vision se troubla, puis mon ouïe et enfin, je perdis le contrôle du reste de mon corps, en seulement quelques secondes, avant d'avoir eu le temps de réaliser ce qu'il se passait. J'aurais bien juré comme seuls les Galariens peuvent le faire mais je n'en avais pas la force. Je sentais le ouistiti s'agiter, comprenant la gravité de la situation. La Pijako avait dû tomber quand mon couvre-tête avait glissé dans ma chute et je crus reconnaître la silhouette d'argent du goupil, qui me scrutait avec ce que je pensais être du souci. Il s'enfuit néanmoins, laissant apparaître au loin une silhouette vaguement humanoïde. Une femme ? Ou un Pokémon ? Impossible de le dire pour moi. En revanche, je compris bien vite que ses intentions n'étaient pas des meilleures lorsque je la sentis m'attraper par le col pour me trainer derrière elle. J'avais bien peur que ça ne soit pas pour m'inviter à dîner.
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Anonymous
Invité
Invité
Sam 22 Aoû - 16:38
Invité
Comme à son habitude, le gardien s'adonnait à sa patrouille journalière. Un rituel qu'il avait mis en place dés son arrivée dans la région. S'il eut s'agit, au départ, d'un exercice qui lui permettait d'explorer et d'apprendre à connaître les lieux, les randonnées du métis devinrent bien vite des patrouilles de surveillance, même s'il aimait plutôt les qualifier de simples marches.

Équipé comme il le fallait, l'armure rendait l'exercice plus complexe mais protégeait mieux qu'un simple habit, le gardien marchait, faux en main, regard perçant et Arcko à l'épaule. Si ses premiers pas foulèrent le sol sans soucis, il sentit que quelque chose d'étrange se tramait. L'air se rafraîchissait. Ce changement plutôt abrupt intrigua profondément l'homme qui, incapable de résister à ses pulsions de curiosité et à ses envies de savoir décida de poursuivre l'épopée pédestre. De la buée commença à s'échapper de son nez à chaque expiration puis, en plus de l'atmosphère qui se rafraîchissait d'avantage, vinrent tomber des flocons. Le gardien fit une courte pause afin de boire et de retirer son pendentif de sa faux, le préférant en sécurité à son cou. Il fit vite, s'arrêter lui fit se rendre compte que la fraîcheur s'avérait bien plus importante que ce qu'il avait pu ressentir au premier abord. Fort heureux de posséder une armure faite pour le froid, frileux qu'il était, il continua.

Son enquête s'étoffa lorsqu'il discerna des restes de pas. S'accroupissant brièvement, le gardien tenta de deviner à qui, ou à quoi, appartenaient ces traces laissées sur le fin tapis blanc. Quelque chose qui ressemblait à des chausses, d'un côté, mais pas des semelles d'ici, épaulées, même si, anatomiquement parlant, il n'y avait rien à voir entre épaule et pied, par des marques de pattes d'une espèce que le gardien ne reconnaissait pas. Ses doutes commencèrent à se dissiper et une idée de ce qui se passait naissait en lui. Il devait faire vite. Augmentant l'allure, le faucheur, aux aguets, avançait malgré le voile de neige et de brouillard qui s'épaississait. La paire du temple suivit les traces de pas autant qu'ils le purent , jusqu'à ce que ces dernières, effacées par les flocons par beaucoup d'endroits, fussent remplacées par d'étranges traînées. D'un regard complice avec son pokémon, le gardien bifurqua sur la gauche et poursuivit son avancée.

Ryugetsu se tint au loin, immobile. Son idée s'avéra juste. Il observait une étrange silhouette qu'il avait plusieurs fois aperçue depuis son arrivée. Jamais elle ne lui fit de mal, alors qu'elle l'avait déjà repéré auparavant. La silhouette, cependant, lévitait, et, par conséquent, ne pouvait laisser de traces au sol. Le regard du gardien fit quelques centimètres et il put apercevoir quelque chose, quelqu'un peut-être, qui se faisait tirer et traîner par le pokémon. Sortant de sa torpeur face à tant de grâce, le gardien fila droit vers la silhouette, faisant fi de toute émotion. L'ombre fila dans la nuit, ou plutôt dans le brouillard mais une autre la poursuivait et la rattrapait.

Attrapée. Le gardien se tint devant l'entité glaciale. Il plongea son regard dans le sien et, bien qu'armé de sa faux, ne se mit pas en garde directement. Les deux êtres, malgré le froid qui s'intensifiait, ce qui poussait Arcko à se réfugier dans l'armure de son acolyte, se fixèrent un moment du regard. Le regard hypnotique de ce que Ryugetsu considéra comme "La femme des neiges" était difficile à analyser. Impossible de savoir ce qu'il pouvait se passer dans la tête de ce spectre frigorifié. Sans un bruit, la glacée souleva son bras et vint laisser pendre une personne. Ryugetsu s'essaya à quelques pas vers l'avant pour mieux discerner le profil inconscient. Il s'avérait difficile de voir, au milieu de cette tempête, même s'il sembla que plus on approchait la glacée, plus le climat se normalisait. A nouveau, les deux se fixèrent. Le silence régna puis Ryugetsu s'avança. Il venait de percevoir, dans les yeux de la créature, qu'il était autorisé à récupérer le paquet organique. Un cri s’éleva, le gardien fut incapable de dire s'il l'avait entendu de ses oreilles ou s'il venait de son esprit. Il tendit ses deux bras sous l'inconscient qui s'avéra peut-être être une inconsciente. Mais peu importait. Le gardien se saisit du poids-plume et il recule de trois pas. L'entité de glace émit un nouveau son dont on ne pouvait savoir avec quel sens on le percevait puis, d'un geste, elle invoqua une tornade de glace autour d'elle. Seule une main indiquant l'est restait visible avant de, progressivement, céder la place à un tourbillon de flocons qui, après quelques instants, finit par disparaître, ne laissant derrière lui qu'un tas de neige qui fondit, à mesure que la température remontait.

Ryugetsu s'était empressé de ramener l'endormi chez lui. Il attisa le feu qui lui servait à chauffer l'eau de son thé et il allongea son paquet surprise dans une couche qu'il recouvrit de plusieurs couvertures. Il fit mijoter plusieurs plantes afin de préparer une boisson revigorante, un minimum, pour son invité. Le gardien vérifia, un peu tard, s'il s'agissait d'un corps vivant ou d'un corps mort. Vivant, pour l'instant. Aidé par ses trois colocataires: Arcko, Pandespiégle et Racaillou, le bon gardien prépara ensuite de quoi manger. Il alla étendre les vêtements trempés de la dormeuse puis, après que tout eu été fini il vint s'asseoir en tailleur au fond de sa hutte, un œil sur la blessée. Cet original l'intriguait mais il lui faudrait attendre son réveil pour en savoir plus. D'ailleurs, tant qu'il y pensait, il devrait essayer de dessiner la femme des glaces.
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Charlie
Charlie
Or : 270
Origine : Galar
Métier : Saltimbanque
Sexualité : boys ♪ boys ♫ boys
Equipe : Momartik la milf qui fait froid | ft. Ryu Minigr10Momartik la milf qui fait froid | ft. Ryu Goupil10Momartik la milf qui fait froid | ft. Ryu Pijako10
Jeu 17 Sep - 1:36
Charlie
Je dus perdre connaissance peu après mon enlèvement, puisque que je ne me souvins absolument d'aucun détail après cela. En revanche, je m'endormis dans un des rêves les plus plaisants. Je n'avais plus froid au point d'en perdre les oreilles, j'avais même chaud. Comme à une distance raisonnable d'un bon feu de cheminée. Mon père était là, avec Fulgudog. On regardait des acrobates se donner en spectacle en tapant des mains, amusés.
Ça ne pouvait pas être un souvenir, j'avais trop rarement été spectatrice. En effet, on ne gagne pas son pain en regardant faire les autres. Pourtant, que j'avais été tentée de laisser mes yeux dévorer une prestation plutôt que d'être l'artiste, de temps en temps. C'est avec cette pensée que je réalisai que je devais être en plein songe. Assez vite, une autre idée plus morbide me vint et me glaça le sang. Et si j'étais morte ? Était-ce l'au-delà dont parlaient les prêtres de Galar ? Aussi sympathique cela avait-il l'air, je n'étais pas prête à passer l'arme à gauche ! J'étais bien trop jeune pour ça, j'avais des projets, je n'avais jamais rencontré mon prince char-...
Une pression sur mes genoux m'interrompit. Je baissai les yeux et rencontrai une paire d'iris dorés. Le Goupilou me fixait avec inquiétude. Que faisait-il là ? Il n'était pas mort aussi, n'est-ce pas ? Je ne me serai jamais pardonnée d'avoir causé la fin de mes Pokémon en les emmenant en voyage avec moi ! Avant que je ne m'inquiète encore plus pour son sort, le chenapan me mordit la main. Je criai, la douleur fut si aiguë que le monde entier tourbillonna avant de se changer en un brouillard épais, puis en noir total. En réouvrant les yeux, je m'étais levée en sursaut dans un endroit inconnu.

Un feu crépitait non loin. C'était sûrement la sensation de chaleur de mon rêve. De plus, j'avais été bien couverte. Pourtant, j'étais presque dénudée, ne portant plus qu'une couche de vêtements. Devais-je m'inquiéter ? Un homme de grande taille, imposant et à la barbe broussailleuse était assis en tailleurs près de moi. Sur son visage, il y avait une énorme cicatrice. Une blessure de guerre peut-être ? Son air patibulaire ne me disait rien qui vaille. Mais j'étais bien trop faible pour me permettre de fuir, je ne pouvais que me contenter de me persuader qu'il était un homme bon.

Je... vous... qui... la tempête ?

D'autres mots confus sortirent de ma bouche. Moi-même je ne savais pas trop ce que j'essayais de dire. J'avais beaucoup trop de questions, envers cette personne ainsi qu'envers moi ou les récents évènements. La sensation familière d'une créature sur mes jambes refit surface. Arsène, effrayé par mon brusque réveil, avait enfin osé revenir à mon chevet. A en voir ma main, c'était une réelle morsure qui m'avait sortie du monde des rêves. Je ne lui en voulais pas vraiment, de toute façon, j'étais cassée de partout.
Je me forçai à me remémorer du mieux que je le pouvais. La silhouette qui avait essayé de m'enlever était... féminine, me semblait-il. En tout cas, rien que je n'aurais pu confondre avec un barbu aux épaules carrées. Si mon intuition était bonne et la créature ne me voulait pas de bien, je devais sûrement ma vie à ce type. Je m'en voulais presque d'avoir douté de lui. On... on ne sait juste jamais assez.

Merci.

Sur ce simple mot, je m'affalai. Je ne me rendormis pas, me contentant de fixer le plafond de la chaumière. La bâtisse semblait plutôt humble. Après tout, l'homme n'avait pas l'allure d'un noble, plutôt d'un guerrier ou un chasseur. Il avait l'air de vivre seul, en tout cas, je n'avais entendu aucun autre être humain. J'avais aperçu quelques Pokémon en revanche, deux inconnus et un Pandespiègle. Une belle petite troupe.

JOEY ? ALICE ?

Cette fois, je sursautai encore plus fort, me retrouvant assise, le dos parfaitement droit, à chercher autour de moi les deux monstres que je n'avais toujours pas croisés du regard. Si le goupil avait pu résister au froid, je ne donnais pas cher de leur peau s'ils étaient restés dans la neige. J'étais prête à pleurer. Silencieusement, incapable de formuler une vraie phrase, je suppliai l'étranger de mes yeux humides. Avait-il seulement vu le singe et l'oiseau ?
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Anonymous
Invité
Invité
Sam 7 Nov - 16:48
Invité
Les mouvements et paroles de l'invitée attirèrent l'oreille du gardien, toujours plongé sur sa feuille, armé d'un crayon. Plusieurs livres clos, empilés à côté de lui, l'accompagnaient dans sa surveillance. Inscrit sur la couverture de celui à la cime de la pile, se dévoilait le titre "Légendes alpines" à quiconque savait lire. Si ses oreilles furent alertes aux premiers mouvements du dormeur du mont, ses yeux suivirent à l'autre suite de mouvements et de cris, plus brusques et bien moins prudents. La voix de Ryugetsu s'éleva calmement:

-Si tu continues de t'agiter comme ça, tu vas vite retourner à ton état d'inconscience.

Il posa la feuille sur laquelle se dessinait le pokémon auquel ils avaient pu échapper, ainsi que son crayon, sur la pile de livres, avant de se lever. Il se déplaça quelques pas plus loin afin de saisir une tasse et une écuelle, l'une remplie d'une tisane, l'autre de nourriture. Par ailleurs, en se déplaçant, il dévoila deux silhouettes ronflantes bien familières à la convalescente. Le froid s'avérait être un terrible adversaire contre l’énergie et il absorbait sans pitié ni sommation les forces des imprudents. Mais qui disait ronflement disait respiration et donc vie. Enfin, ils ne ronflèrent plus bien longtemps, les cris de leurs acolyte les ayant réveillés. Vivement, la paire de pokémon se rua sur la rescapée. Ryugetsu fit de même, avec moins d'enthousiasme et d'affection que les créatures. Il déposa la vaisselle remplie sur un meuble qui servait de table de nuit et retourna à ses ouvrages afin de ne pas s'immiscer dans ces heureuses retrouvailles.

Le gardien scruta "Légendes Alpines" quelques minutes avant de reprendre la parole:

-Je ne sais pas ce que tu cherchais dans ces montagnes, mais ce qui t'as attaqué ne semblait pas te proposer le thé.

Il releva la tête de son ouvrage et vint poser ses yeux sur l'allongée:

-Tu es à Kii, dans ma demeure. Je suis Ryugetsu, le gardien du temple.

Il marqua une pause avant de reprendre, toujours sur ce même ton empli de tranquillité et de sérénité:

-Si tes intentions sont hostiles, ce dont je doute, je te demanderais de partir dés que tu seras apte à bouger. Si elles ne le sont pas, tu es la bienvenue pour autant de temps que tu le souhaiteras.

Il conclut ensuite sa tirade:

-Est-ce que tu te sens mieux ? Sens-tu tes doigts et tes orteils ?

Maintenant que l'endormie ne l'était plus, le gardien ouvrit grand les deux portes principales de sa demeure, laissant entrer la lumière et une vent frais et revigorant. Arcko et les deux autres fanfarons se ruèrent dehors et ne tardèrent pas à se battre. Ils s'entraînaient souvent de cette façon. Nami l'avait apprise à son Pandespiégle et au Racaillou balafrant. Arcko fut entraîné dedans par ses deux camarades.
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